I – La quête du pieux mensonge. Le premier sceau se brisa , cette voix m' hypnotise, S i faible, je m' approche lentement Découvrant ainsi, le début de mes tourments. Elle me promet l’éternelle q uiétude sur la terre des h ommes . Le cavalier blanc, clama de sa belle rhétorique De conquérir la terre de son prochain. L’allure confiante

Comment arriver à exprimer ce que l’on ressent alors que nous-même l’ignorons. Ce mélange de tristesse, de mélancolie sur lequel on n’arrive pas à mettre de mots, de description. Voilà plus de 4 ans que je n’ai pu écrire un texte digne de ce nom à cause de ce manque d’expression écrite, ce blocage. Ma seule source d’expression,

I – Disorder L’enfer, voilà l’endroit où je me rends. Le bruit strident de la sonnerie, les cris oppressant des adolescents. La peur m’envahie peu à peu. Je me sens vide, inintéressante. Je ne peux pas faire machine arrière, ils me regardent tous comme si j’étais un extra-terrestre, d’un autre univers car je ne suis pas comme eux.

Vole en Enfer Etranger dans ce monde, inconnu pour mes mélodies Tu as rendu nos âmes confuses pour cacher notre destiné Entre l’amour et la passion, j’ai vu ton sombre secret Entre la terre et le ciel, j’ai trouvé ce clair sentier Vole en enfer, intrus dans les profondeurs de la forêt Met un voile sur mes désirs de vengeance Brise mes a

C’est sur ton doux visage lors d’une soirée d’automne Que mes sanglots restent aujourd’hui nostalgiques Délectant sur ton sourire jadis monotone La lueur des feux datant, un regard pudique. La mélancolie de ces souvenirs passés Au regard des étoiles, instant d’amour céleste La pluie s’abat, si doucereuse et volupté Met en scène

Comme une saveur particulière Un souvenir eternel Toi et Moi Nos pensées s'entremêles. Il ne m'est guère besoin de te toucher Te sentir ou te parler Pour comprendre qui tu es Pour savoir ce que tu es Il ne m'est nul besoin de t'imaginer Nos mots s'entrelace Nos cœurs s’emballent si fort. Toi, mon autre moi Ce lien crée, à jamais restera. L

Mon Cœur lacéré, Je me sens esseulée Et si attristée, Rêveur, j’entends encore résonner Les lettres de ton nom, en moi encrées N’était-ce qu’un simple mythe rêvé ? Rêveur… C’est ainsi que je t’ai nommé. Je hurle ton nom !... Ôte-moi ce bâillon, Ces maudits cordons Qui emprisonne sans façons, Mon cœur en cage, furibond ;

Ressentir tes peurs, exprimer tes joies Comprendre ta douleur se perdre en moi Sentir chaque larmes que tu pleures Voici mon fardeau, mon leurre. Empathie, tu m'emprisonnes Chaque nuit tu serre ton étreinte Si intensément, je frissonne Enfermée dans ce labyrinthe Cette sensibilité me consumme Chaque jour, encore un peu J'essaie tant de l'écrir

La plume Ma lettre pour toi est aveugle Durant tant d'année, Une sorte de passé magique, De terre féerique m'a manqué Esprit épique pour de l'encre noir Le nom de la bravoure Écrite par ma plus blanche Perdu dans un rêve de liberté Loin de mes nuits les plus noires Aujourd'hui, je me bats pour le royaume Je me bats pour ma lumière Le comba

Volant en éclat, les yeux perdus, Vide de vie, le corps mit à nu Une âme gâchée, une innocence troublée, La pureté même autopsiée, dépecée. Du plus profond de ses entrailles, Une souffrance inavouée, Priant qu’un jour elle s’en aille, Et pouvoir enfin oublier. Nettoyer par écrit ce corps malmené, Et une fois pour toute faire brill