Il va quand même falloir qu'ecriveuse cesse de bouder, et que je reprenne la route du clavier... "je ne boude pas, d'abord! je te laisse un peu de liberté, nuance! - parce que tu crois qu'elle n'est pas libre? demande la voix amusée de peinturlureuse. - bon, un peu d'air, je veux dire." je souris: mes deux alter egos semblent commencer à s'appr

L'esprit éclairé des lumières de jadis meurt peu à peu face à l'orgueil et aux vices de ceux censés représenter notre élite qui violent sans vergogne et le droit et l'éthique. il faut être aveugle ou sot pour croire en leurs dires, sourd et idiot pour les imaginer changer... alors qu'ils devraient etre l'exemplarité, ils ne sont que perf

La première oeuvre (ma prof de 5ème aurait sans doute trouvé que ça méritait bien la moyenne!) mais ne cherchez pas, vous ne verrez pas les deux suivantes j’ai trouvé un nouveau passe-temps. je n’abandonne pas l’écriture pour autant, puisque depuis le temps, c’est une prolongation de mes mains et de mon neurone hyperactif, mais à la

Je ne parlerai pas de moi mais d'elle, celle que j'ai un jour appelée ecriveuse. l'action de nommer semble également donner une existence. d'où, sans doute, une forme de schizophrénie parfaitement assumée et, en général, non problématique. en tout cas, jamais pour nous deux. quand ecriveuse se manifeste, je lui cède bien volontiers la plum

Comme je vous l’ai avoué, il y a peu de temps, mon alter-ego, ecriveuse, fait partie de moi depuis des lustres. nous avons appris à vivre ensemble, tout en nous chamaillant, évidemment, mais en général, ça fonctionne pas mal. sauf qu’en ces temps de confinement, étrangement, l’inspiration des mots me (nous, pardon) fait un peu défaut.

Bon, ça fait maintenant 2 semaines que j'ai pris les pinceaux pour la première fois. c'est devenu compulsif. moche souvent, mais compulsif. ben oui, mais c'est ça de ne pas savoir dessiner, ne d''avoir aucune technique et de ne pas réussir à reproduire une image qui nous trotte dans la tête. toutefois, sur la quarantaine de peintures dignes d

La porte se troubla soudain pendant quelques secondes avant de reprendre son apparence réelle : un arbre pluriséculaire majestueux, dont la cime se perdait dans les nuages, au milieu de la forêt du sanctuaire. les cinq formes indistinctes qui avaient commencé à se matérialiser dans le même temps s’évaporèrent. le futur vénérable, qui p

Oufti. dépoussiérer un peu par ici semble une nécessité absolue. pour autant, je reviens à mes premières amours que je n'ai finalement jamais vraiment quittées: l'écriture. pour être claire, il ne s'agira pas pour moi de vous faire partager le confinement que vous connaissez, pour la plupart, tous et toutes. mais pour vous faire voyager un

Je comptais continuer à vous livrer les chapitres de mon nouveau roman, mais pour le moment, ça va être un peu en stand-by. mais j'y reviendrai dans quelques jours, probablement après le confinement :) a la place, et après avoir jeté un œil à ce que j'ai publié ici il y a plus de 10 ans, je vais revenir à mes premières amours que sont le

Almodénia, 1495ème cycle assis à son écritoire, sa plume d’or levée, orsil observait ascain, la lune argentée, et adéros, la lune ambrée, qui s’étaient levées comme chaque nuit à la même heure. le troisième astre, onyx, la lune noire, ne tarderait plus. dans quelques mois, les trois lunes s’aligneraient pour former la conjonction