Un sourire dans tes yeux Le regard de tes mains La chaleur de tes creux Et l'odeur de tes seins. Oui, quand je les possède Ce sont là tous mes biens... ET encore, sans ton aide, Ben, je n’aurais plus rien... Que pourrais-je donner Qui puisse égaler Le sourire d un enfant ? Que pourrais-je voler Qui puisse s'approcher D'un soleil levant ? Que p

Elle est parti trop loin, sans idée de retour Préférant pour longtemps la longue nuit au jour Sans même un au revoir, sans jamais, sans toujours Sans mots qui nous rassurent, qui atténuent nos peines. Mais c'est le même sang qui coule dans mes veines Et c'est les mêmes peurs qui hanteront nos rêves L'éternité n'est pas, mais on peut la to

Il est peut être temps de décoloniser le social Hier, arrêté par les policiers pour un contrôle d’identité, après l’échange de papiers (en règle) contre quelques injonctions polies mais péremptoires, le climat s’étant un peu détendu (surtout quand j’eu coupé la radio où Daniel Mermet faisait exprès de les provoquer) suite à

Le croire et le savoir "Nous sommes éduqués à croire , et non à savoir . La croyance peut être manipulée . Seul le savoir est dangereux ." Frank Herbert La pierre d'achoppement de notre société moderne se trouve peut-être là. Dans cette guerre jamais perdue que mène le croire à l'égard du savoir. Le déclin du catholicisme de masse en

Le monde est là Juste en face de moi Il me regarde vivre Je le devine ivre De ces coups qu'il inflige A ces gens qu'il dirige Heureux de dénouer Ou bien de renoncer Son regard est vitreux son sourire anguleux Il tient entre ses dents Tous ces milliers d'enfants Qui m'appellent au secours Qui n'ont d'autre recours Que de fermer les yeux Et prononc

Pensée minimale, pour mini équipements … Nous travaillons avec et pour les hommes, l’humain. Plus que dans n’importe quel domaine nous devrions nous méfier des croyances, des a priori, des pensées et solutions toutes faites, des capacités de certains à charmer et à endoctriner… Or on voit se développer les boites, les cabinets, les

Lorsque l'on dit les vieux, On imagine des gens, Qui d'un âge certain Ne sont plus que douleur, Ne sont que souvenir, Et attendent la Mort. Mais où commence un vieux ? A l'âge où l'on se tourne Doucement vers le passé Car on n'sait que trop bien Ce que sera demain. La mort n'est plus un point Bougeant sur 1 horizon, Mais une ombre planant Chaq