TERRE ET SOLEIL Si la terre est si ronde et qu'ainsi est sans fin C'est que chaque début espere un lendemain Comme la mer qui monte qui repart et revient Chaque homme un peu perdu veut bâtir un destin Comme l'eau sait glisser silencieusement Autour de chaque obstacle qui voudrait l'arrêter Cet espoir de durer inscrite dans nos gênes Ecarte tous
paul vidal
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12/05/2008
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Littérature, BD & Poésie
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Le marin et le bédouin Entre la pierre et l’eau, le granite et la mer La pensée qui résiste, fatiguée par ses lois L’eau qui se dérobe, et n’obéit qu’au vent Les dieux s’installent, pour combler le néant Les présences multiples, installées maintenant Multiples et immédiates, pour combler le présent Repousse l’inquiétude, par
L’abstrait et le concret, en conflit apparent Avancent de concert en chemin parallèle La logique toujours amoindrit le miracle Elle veut avec des chiffres détruire les arcs-en-ciel Les regards et les voix occupent notre espace Repoussant le silence des objets apparences Les mains pour mieux saisir nous apportent la joie Du contact précieux de
La foi imprévisible monte à l'assaut du ciel En cherchant une forme qui puisse la traduire La pierre et le sommet en restent le symbole Et les clochers jalonnent l'étendue de la Terre Ils sont le témoignage le plus universel D'un besoin de futur solidement ancré. GAUDI en démesure a cherché de la foi Une image plus large différente personne
LE SOURIRE Quand le sourire sur toi se lève, Que ta peau dessine la joie, Le bord ondoyant de ta lèvre Semble la vague qui festoie. Dans tes yeux s'engouffre le temps, Qui d'un instant fait un regard, Qui de fuyant devient présent, Qui dit demain sera trop tard. Ta voix qui glisse sur les mots Qui si bien chante et qui m'enchante Comme fait ma m
Avec les mots les sons les images et les voix Je ne vis que l'instant et ne fait qu'exister Je peux les écouter les voir et les entendre Occuper tout l’espace et l'illusion du temps Mais si le temps est sable et l'homme que poussière La phrase qui les porte peut durer davantage Lorsque le mot choisi porte en lui une idée Nouvelle et jamais dit
suppositions De l'arbre jusqu'au papier, et de l'idée au mots Le chemin paraît long, mais n'est qu'une apparence Vouloir en peu de mots, faire le tour d'un regard Et porter l'ambition, d'un jour le posséder Chacun de ces désirs, porte en lui la défaite Du pouvoir de l'esprit à posséder la vie. Il est toujours possible à l'imagination De bâ
Des pyramides, aux cathédrales Des pyramides, aux cathédrales Défi au temps, espoir des cieux Je suis la pierre, vous êtes vent J’aurais raison, puisque suis dur La vie n’est rien, que passagère Construire des murs, avec des mots Les imprimer sur papier dur Pour les relire, leur donner vie Et qu’ajoutés, les uns aux autres Ils effacent,
JAMAIS ET TOUJOURS Du jamais de la mort, au toujours de l'amour, Vous êtes mots trop forts, vous êtes mots trop lourds, Votre excès de présence, votre trop plein d'absence, Trahissent le besoin, de maîtriser le temps. Voulus inconsciemment, pour repousser la peur, Qu'importe le mensonge, que vous portez en vous. L'homme vous a conçus, bâtis,
Récemment je disais à propos d'un décès que chaque personne qui nous quitte emporte avec elle une partie de nous-mêmes. Que toutes les condoléances que les autres peuvent exprimer paraissent lointaines et étrangères. Une peine ne se partage pas ;elle est différente pour chacun et il appartient à chacun d'assumer sa part. J'ai perdu mon p