Quoi de plus rafraichissant qu'un sorbet au coco turbiné en famille? car pour faire un vrai sorbet, il faut turbiner! mais le résultat est là!

Chapitre 13 - suite dans la maison, il régnait une ambiance particulière comme toujours pour noël. cette fête gardait un caractère spécial. pour ce qu’elle fêtait pour eux, chrétiens et catholiques : la naissance de dieu, tout simplement. et il y avait toujours cette atmosphère de paix et de joie, une sorte de folie tranquille qui s’in

Chapitre 14 le jour du départ arriva bien trop vite. il lui aurait fallu au moins une semaine de plus pour tout faire ! en particulier, elle n’avait pas vu pierre, son frère, autant qu’elle l’aurait voulu. curieusement, il ne restait pas beaucoup à la ferme. chaque matin, dès le lendemain de noël, il partait sur son vieux vélo grinçant

Amélie s’inquiétait du manège d’armand moreau, de ses sourires, ses attentions, ses petits cadeaux qu’il choisissait avec soin, des petites choses pas chères : un ruban pour les cheveux, quelques bonbons, des dragées, une rose, qui devenaient des souvenirs. elle était sûre que marie conservait précieusement jusqu’au papier de chaque

Chapitre 13 aujourd’hui, 23 décembre 1938, l’hôtel était calme et silencieux. on n’entendait plus les bruits de la cuisine, ni de la salle. la radio était éteinte et personne ne dévalait l’escalier. amélie était partie la veille, et armand aussi, comme tous les autres pensionnaires. marie finissait de réunir ses affaires, puis elle

Chapitre 12 novembre tirait à sa fin. les jours raccourcissaient, le ciel restait gris et bas. le froid et la pluie s’installaient doucement. la brume noyait les montagnes. le mauvais temps persistant réduisait la fréquence et la durée des promenades des trois amis. emmitouflés comme ils pouvaient, ils essayaient quand même de se retrouver,

Vue de ma fenêtre: les jonquilles.

Chapitre 12 novembre tirait à sa fin. les jours raccourcissaient, le ciel restait gris et bas. le froid et la pluie s’installaient doucement. la brume noyait les montagnes. le mauvais temps persistant réduisait la fréquence et la durée des promenades des trois amis. emmitouflés comme ils pouvaient, ils essayaient quand même de se retrouver,

Il y a longtemps que je n’ai pas posté de recettes, en voici une. a la suite d’un petit séjour caniculaire au béarn où les températures empêchaient toute activité à part l’essentiel : boire, manger et dormir, j’ai quand même redécouvert un petit trésor de la gastronomie basque : hé oui ! le pays basque est voisin, cousin, frère