Errant dans la nuit sans lune, J'espère comprendre mon infortune, Car plus les énigmes se font, Et plus je touche le fond. Toi esprit de la nuit qui me visite, Et qui dans l'instant me parasite. Qu'elle est la chose que je ne veux voir, Qui me fait peur dans mon miroir. Nuit après nuit, mon âme tétanisée, Ramène l'odeur sulfurisée, D'un end
Marie-Pierre Larzabal Jude
Marie-Pierre Larzabal Jude
A la recherche de mon identité, je me promène dans des lieux inconnus, que de souffrance et de joie aussi pour être ce que nous sommes.Poèmes, pensées, tout ce qui me semble important.
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Marie-Pierre Larzabal Jude
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05/11/2008
Categorie :
Tourisme, Lieux et Événements
Articles à découvrir
Mon coeur est fatigué, De t'avoir cherché. La vie aurait pu nous séparer, Mais tout nous a rapproché. Je m'imprègne de ce sentiment, Qui me jette dans le néant. Plus rien ne m'est connu, Tout se trouve perdu. C'est dans tes yeux, Que j'ai trouvé Dieu. Et dans mon coeur, "Notre ailleurs". Je fais voeu de me sacrifier, Et celui de me renier. J
Dans la lumière incertaine du jour à venir, Ce chemin qui n'est que mon devenir, Puisqu'en moi la fin des souvenirs, Tout raisonne empire..... Empire d'une vie, d'une mort, Empire d'un choix, d'un sort, En pire, raisonne encore, En pire, pour arriver à bon port...... Brûle en moi, la vie, Brûle en moi, la nuit, Rien ne survit, Même pas ce que
De la rivière de la vie, Qui s'écoule lentement, Comme une onde infinie, En mon corps maintenant. Je sens la paix m'envahir, Qui comme une eau de cristal, Abandonne tout désir, Et éloigne le mal. Ni colère, ni haine, Ni rancune, ni rancoeur, Tout comme ce chêne, Qui puise en sa soeur. Force et matière, De celle que l'on nomme, Avec une si gr
Tu m'as accompagné jusqu'à présent, Mais de mes nuits, je ne vois plus que le sang. Je ne trouve plus le courage, Je n'ai même plus la rage ? Je suis au bord de la falaise, Un pas en avant et c'est le néant, Je ne suis plus que glaise, En moi plus rien n'est vivant. Ne me laisses pas seule, Ne m'abandonnes pas, Veux-tu réellement que je meurs
Isis Déesse en ces lieux, N'accepte que l'être désireux, Et nul en son sein ne peut violer, L'Antre, sans en avoir été invité. Car de ce lieu sacré, Dont l'homme a tant rêvé, Pour pouvoir y accéder, La Vérité doit mériter. Tant d'homme en errance, Navigue sans cadence, Et pourtant le seul secret, Est le Tempo d'Eternité. L'invitation
Dans mes barreaux de verre, L'étau se resserre. Aurais-je le courage, De touner la page. Combien de temps encore, Devrais-je subir ce sort ? Celui de toujours retourner sur mon passé. Sans jamais l'effacer. Il est des jours, Où mon coeur est trop lourd. Où je ne comprends pas qui je suis, Où je ne comprends pas qui je fuis. Dans tous ces labyr
Lorsque l'agneau voit le monde, Avec les yeux de l'amour. Et que le loup guette et sonde, Avec la haine à sa cour.... Dans la douceur de la nuit, L'agneau cherche les âmes à réconforter. Dans la froideur de l'ennui, Le loup trouve les âmes à damner. Lorsque la lumière le reconnaît, Elle sait, qu'il est à sauver. Peu importe qui se repaît,
A tout ceux dans le désespoir, A tout ceux qui n'ont plus d'espoir. Je vous laisse le choix des armes, Je vous laisse le choix des drames. Mais sachez qu'au fond de moi, Tout est en désarroi. Sachez que lorsque je vous vois mourir, Tout ça me fait souffrir. Lorsque je vous vois fuir dans vos couloirs, Lorsque je vois qu'en vous, vous ne regardez
La buée sur les carreaux. C'est l'heure où nous quittent les oiseaux. Et je ne peux retenir, Mes larmes de te voir partir. Tout est gris et sombre. Alors, se profile l'ombre, Si noire de tes adieux. Et je ne vois dans tes yeux, Que les notes qui s'envolent, Une à une en farandole. Je me souviens de ces matins d'été, Riant dans les champs de bl