Le désir me secoue, hystérique, complètement borné. Je ne veux plus être aimée, mais par pitié, laissez moi vous aimer. Mesdames, Messieurs, Voici mon corps nu, voici mon âme ouverte, ne cachez pas vos yeux, ne cachez pas vos coeurs. Ceci n'est qu'une mer, allez y, plongez !
tanit
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02/05/2009
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Rouge absolu, tirant ma lèvre vers l'extérieur de mon désir tremblant, et une main sur mon sein, dévoile la splendeur, d'une larme émerveillée, sur la joue creuse du désiré. Ouvre moi pour que je vois mes secrets, ouvre. Bleu sourire apaisé, corps secoué sans gêne, main sur ma hanche rebondie sur la courbure des corps mêlés. Pénétré
Le mot a cessé de me traverser, il m'habite, il m'agite. Et j'essaye de le cerner du regard, de l'aimer, d'y entrer en paix. Mémoire, Belle mémoire, Traces sous mes pieds errants, Essense de ma danse inconsciente. Te saisir et mourir, Enfin vivre, Enfin naître.
De mordre la lumière Ma bouche s'enfuit Vers mes sens. Et dans le sourire des cernes Se dessine l'instant Qui perce l'univers .
Progression intime, par la chair humaine, veine par veine. Course charnelle, de l'éphémère vers l'éternel. Vérité humaine, éblouissante laideur, aveugle beauté. Foudroiement intérieur Passion enveloppée Mille voiles à déchirer Chair après chair Veine après veine Ces peaux qui hurlent au désir Tristement, enchaînées Viens, libère E
Toujours au bord de l'abandon, toujours prête au chavirement, Envie de sauter en avant, Voilà encore un déchirement. Me perdre sans me retrouver, Ce mouvement inversé vers le rien, n'a pas cessé de me casser, Parce que je le veux bien. Le confort me hait, il est rude, je ne l'aime pas non plus, dégoût pour sa platitude, et sa plastique conve
Un temps est fini. Je ne vais pas le décrire, il ne mérite même pas un adjectif. Un temps va commencer, il s'appelle "corps", c'est tout ce que je sais. Entre les deux, mille tempêtes, et mille papillons, et moi je reste là, debout, mangeant les bourrasques comme les battements d'ailes, et c'est pareil, car moi je suis pareille, je mange tout
- Douce Folie, je te trouve bien timide, quand est ce que tu auras l'audace de me manger entière, ne m'avais-tu pas dit que j'étais bonne, ou peut être que ce n'était pas toi. - Douce Folle, j'aurais l'audace de te manger quand tu auras l'audace de venir à moi entière. Pour le moment, je te trouve bien timide. Et non, ce n'était pas moi.
Echo, du fond de moi, me dit que je t'aime Echo, du fond de toi, me dit que tu es l'air Profonde est notre retrouvaille Fracassante, je l'entend bourdonner dans mes oreilles Et dans l'espace, pas un son audible, rien que de la lumière, qui trouble ceux qui me voient imbue ainsi de ta passion, Exaltée, au point que la souffrance qui apparaît N'es
Un jour, un corps, une nuit, ma peau s'entremêle et toujours elle voudra...toujours Dure est la parole qui ne sort pas, Et moi, dans le mal dire, ce feu en moi, Ce monde est tellement plat, il ne peut me contenir. Et je reviens de loin pour dire encore : Comment dire sans dire cette douce douleur décrispée, coulante, et ce coeur alourdi qui sait