Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
sacaab

sacaab

Merci d'ouvrir la porte, et de venir voyager un peu, je vous attendais, la plume à la main, ne sachant encore vers quel rêve m'en aller. merci de votre visite, n'hésitez pas à commenter vos lectures, ce lieu n'en sera que plus riche. amicalement, sacaab.

Ses blogs

les mots de sacaab

Recueil et partage de textes...
sacaab sacaab
Articles : 53
Depuis : 09/06/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Jazz.

Jazz.

Et préserver ce silence, étant le plus précieux, celui qui vous délivre, au profond de votre âme, à laisser aller vos peines, vers leur renoncement, glissant au flot des larmes, au sel du prochain regard. Entendre encore, la nuit venue, vibrer les cieux, et savoir que tôt ou tard, reviendra cette flamme, qui s'étiole et s'éteint, comme s'
Canne blanche.

Canne blanche.

Il savait les ponts, où soupiraient les amoureux, son regard imparfait, sous ses lunettes noires. Il souriait aux jeux, de jeunes enfants en rond, quand un pas dans la flaque, les faisait rigoler. Oubliant le détail, que fait sa canne blanche, toquant comme l'on voit, les embûches du chemin. Un nouveau dimanche, s'éloigne du grand portail, on v
Aquarelles.

Aquarelles.

Peu à peu s'estompaient, les lumières de la ville, luisant en halo frêle, dans la finissante nuit, par grappes s'éveillaient, à la floraison nouvelle, et au charme printanier, buissons et arbres fruitier. La route serpentait, entre vignes et collines, traçant des images, qui deviendraient des souvenirs, du jeu du soleil, croisant le vol des h
Parfum de sable.

Parfum de sable.

Croquer à gourmandise, un soupçon évaporé, qui chatoie vos imaginaires, pastels et légers, quelques gouttes de bonheur, fraîches, douces, partagées, fluide imperceptible, une magie osée. Savoir chaque contour, de vos cœurs, et de vos âmes, poser à dessein, auprès de vous et de ce charme, une étoile en écrin, feux d' une fleur qui flâ
Mémoire ...

Mémoire ...

Lui restent quelques traits, de la petite fille, en jupe écarlate, dans la cour de récré, les cris des jeux passés, et les éclats de rire, éclairent sa mémoire, d’un voile coloré. Une moue dessinée, à l’orée du sourire, accompagnée du regard, pour mieux la deviner, charmait et faisait fondre, d’amours en devenir, certains de ces g
feuille et grain de sable.

feuille et grain de sable.

Un grain de sable, au ciel portait sa prière, en voile de verdure, des feuilles ombrageaient, dans cette immensité, n’être qu’un cent millième, ou simple frêle feuille, déjà prête à tomber. Demander à tous cris, être autre, voyager, ou attendre le vent, et puis se laisser porter, combien de dilemmes, que nous ne saurons jamais, nous
Départ.

Départ.

Sur les quais, les bancs de couleur verte écaillée, attendent solitaires, après les au revoir. Le bleu gris du ballast, et l’acier poli des rails, sont chemins de fortune, pour le prochain départ. Tout là-haut les verrières, aux noirceurs de fumée, protègent de la pluie, des voyageurs en retard, les yeux sur la pendule, à deux faces d’
Vents...

Vents...

Je me souviens de toi, l'ami des longs dimanches, que j'écoutais siffler, sous les anciennes tuiles, les branches devenaient de grandes marionnettes. Je ressens encore, ces grandes peurs d'enfance, que l'on se racontait entre filles et garçons. Et notre cœur vibrait, héros d'un jour, peut-être. Je te savais vaillant, aux voiliers d'endurance.
Petite musique.

Petite musique.

Les notes en chamailles, des graves aux aiguës, à l’échauffement, des musiciens en costumes, avant le brouhaha, spectateurs d’habitude, arrivant en vainqueurs, à leurs fauteuils retenus. Et l’homme de musique, celui qui vous conduit, aux élans lyriques, aux jeux des érudits, fabrique de ses gestes, une arabesque vie, parlant à son orch
L'ivre d'amour.

L'ivre d'amour.

Jolie fiole d'ivresse, près du cœur, chaleureuse, presque vidée quelquefois, dans le tourment des heures. Coquines arabesques, dessinées à chaque pas, bien après minuit sonné, il rentre, comme le chat... Amie de la tristesse, lui offrant tous les leurres, et quelques bulles de joie, qui évanouit les peurs. La révérence, presque, à un amo