J'ai fait du rangement dans mes affaires, du tri dans mes tiroirs, du ménage dans mon armoire. C'était surtout pour faire de la place, de la place aux nouvelles choses, de la place pour mes futurs souvenirs. Forcément quand on trie on sépare les choses en deux catégories, celles qu'on garde et celles dont on se débarasse. Au bout de plusieurs

Qu'est-ce que je peux en dire ? Et bien pas grand chose au final, parce que je ne sais toujours pas ce qu'il y a dans leur tête. Je dispose seulement de ma propre vision, et c'est bien ce qui m'agace. J'ai beau observer, analyser et tirer des conclusions de ce qui se passe autour de moi, je n'en sais jamais assez et j'ai ce perpétuel doute du "Pe

Elle sourit. Nul besoin des apparences dans le cocon de nos pensée. Il existe un monde qui nous appartient, des limbes inexplorées qu'il me tarde de découvrir. S'il existait un endroit où je pourrais être seule, c'est bien celui-ci, me perdre chez moi, sans faire semblant. Lancer des questions qui résonneront encore, prouvant par leur écho l

Souvent, je n'arrive pas à trouver les mots. Si j'essaye je n'obtiens pas l'effet escompté, ça ne me reflète jamais réellement. Je crois que je suis incapable d'innover, comme si tout avait déjà été dit, écrit, pensé? Et l'inspiration dans tout ça ? Et bien lorsque j'ai cliqué sur "Ecrire un nouvel article" je me sentais plus qu'inspir

Une tristesse viscérale qui ne supporte l'inexistence de sa cause. "Qu'as-tu dit ? Les gens sont fou ?" Note à plus tard : Si je parviens à y mettre les mots un jour, j'écris un livre. Tant pis pour la pensée elliptique.

Ce corps qui nous ment, Ce corps qui nous raconte, Et la douce amertume qui nous sépare et nous rapproche au gré des idées qui naissent chaque jour. L’odeur qui nous obsède tant, oubliée, ce goût que l’on peine à retrouver dans nos souvenirs. Et mon image, qui s’abime, se froisse, me glisse le long des doigts. Ce corps qui nous manque,

Entendons nous bien, quand je dis "la philosophie" c'est mon approche propre et totalement subjective de cette discipline, et non pas la Philosophie au sens où peut-être certains l'entendent, qu'en sais-je. Forcément, dans mon cas il s'agit avant tout d'une "matière scolaire", avec en bonus, l'agréable impression que je peux en tirer quelque c

Sara, je l’ai connu au lycée, elle était dans ma classe. On a mis longtemps avant d’échanger un mot, c’était au mois de décembre si je me souviens bien, je m’étais mis à coté d’elle par hasard en cours de mathématiques car il ne restait plus de place ailleurs et puis Loïc était malade. Elle m’a demandé si elle pouvait jeter

On a arrive toujours à un moment où il faut "choisir" son orientation. C'est là que j'ai pris conscience qu'en choisissant, on sacrifiait des possibilités. Et en regardant de plus près, je me suis aperçue que j'en avais de toute façon déjà supprimé pas mal, et ce à tous les âges de ma vie (et c'est pas près de s'arrêter en plus). Comm

Je suis la pluie, que rien n’arrête dans son inlassable course vers le sol. C’est le mouvement qui me fige dans l’illusion qu’est l’ascension. Martelant les pavés avec musicalité, me déployant sur les vitres à la manière de l’artiste qui retravaille perpétuellement sa toile. J’arrange et dérange, confortant les idées des uns