- Où vont nos rêves, mon amour ? - Ils s’envolent vers l’immense mer de l’oubli… C’est le sort commun des rêves qui nous viennent en dormant. Les autres que l’on porte longtemps plein d’espoir, un jour meurent usés par le temps. Enfin, les plus beaux sont ceux qui se réalisent. - J’en connais un merveilleux que fit une petite f

J’annonce : c’est dimanche aujourd’hui ! Alors c’est la fête ? – oui. Ton visage s’éclaire et tu ris, Tu chantes : je t’aime à la folie… Dans la furie de ton désir tu m’entraînes, Je t’y suis sans peine. Tout en se disant des « je t’aime». Nous déjeunons quand même, On se pomponne, tout en préparant le repas, Qu’on

Mon jardin au printemps Couvert de lilas blancs Au parfum entêtant, De forsythias safrans, D’iris mauves et de roses pompons Sera triste sans tes chansons. Mon Jardin d’été bien tiré au cordeau Sans une herbe, sans un oiseau, Sans la fraise vermeille Et les grosses tomates pareilles, Sera triste sous la chaleur Sans les fruits de ton labeur

A notre amie qui chaque jour Supplait à nos défaillances… Si elle était une fleur Ce serait une rose rouge, Si elle était un animal Ce serait une jument fougueuse, Si elle était un fruit Ce serait une pêche pulpeuse, Si elle était à un arbre Ce serait un chêne, Si elle était un meuble Ce serait un divan moelleux Si elle était un desser

Tant que tu sauras, Me dire je t’aime, Me prendre dans tes bras Et me faire l’amour, Je serais heureuse. Tant que de tes chansons La maison sera pleine, Que tu siffleras du soir au matin, Que ton rire engendrera le mien. Je n’aurai pas de peine. Toujours souviens-toi De la petite fleur d’autrefois, De celle qui enchanta tes vacances, T’of

Envie de toi : Pas seulement de tes mains sur moi, De ton corps sur mon corps, De tes lèvres dévorant ma bouche, De t’avoir en moi, Jusqu'à mourir de plaisir... Non, simplement sentir ta présence, Croiser ton regard, Entendre ta voix, Te regarder sourire, bouger, marcher, Admirer tes gestes d'homme fort et habile. Enfin te désirer à la foli

Par un soir qui tremble Nous partirons ensemble Dans une nuit profonde Vers notre fin du monde Nous nous sommes aimés Nous avons ri et chanté Marché la main dans la main Sans crainte des lendemains Nous poursuivons notre chemin A pas menus vers notre destin Qu’importe ce qu’il sera Puisque aujourd’hui tu es là

Comm e une plainte douce, Un gémissement d’animal blessé, Un râle de bêtes fauves, Un feulement de féline, Un murmure de femme : Mon amour, aime-moi. Appels irrésistibles, Auxquels succombe le mâle. Loi naturelle qui unit Le corps et parfois l’âme, Enchantements, Accouplements Brutaux ou tendres Perpétue la vie.

Notre amour est solide Profondément ancré dans nos cœurs. Mais le bonheur ! Comme c’est fragile… Un mot qui blesse, Une phrase qui fait mal, Un geste, un regard Et dans la buée de mes larmes Il s’en va… Demain tu oublieras, Demain tu souriras, Demain tu chanteras. Moi, dans mon cœur lourd Un reste d’amertume, Un peu de grisaille Voil

Hier, j’en suis encore tout émue, Douce et légère elle est venue Une rose à la main, La première de son jardin. Patiemment elle nous a écoutés Raconter des histoires de notre passé. Ce matin quel bonheur, Il flotte en ma demeure Le parfum de la rose épanouie Et le souvenir de ma tendre amie.