« magie noire » dans la chaleur de l’afrique occidentale, dans l’étirement de la peau sous le crépitement électrique de la paume, la toile devient pile, accumulatrice d’énergie. lieu où le corps en transe que distend le souffle perd son identité pour se fondre dans les containers aux veines d’acier. tentative désespérée pour tent
Jürgen EHRE
Jürgen EHRE
Jürgen EHRE
Artiste plasticien / Peintre /Kunstmaler
Né à Kassel, Allemagne, en 1941
Études de décoration, arts graphiques, décor scénique.
Depuis 1963 réside à Paris
1963-1967 études à l'Ecole Nationale Supérieure des BEAUX-ARTS,
Ses blogs
Articles :
42
Depuis :
15/11/2009
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
« noli me tangere » de jürgen ehre 2019 "noli me tangere", coffret en bois, éclats de verre, masque du visage ( modelé par léopold kretz, sculpteur), dorures et arrangement de jürgen ehre dimensions :87x22x15cm, appartenant à la période « blanche », terminée en juillet 2019 « noli me tangere » c’est le vent du néant qui fait dispar
« schlage doch, gewünschte stunde » (kantate bwv 53 de j. s. bach) parfois la tristesse s’abat sur nous si l’on songe à tout ce qu’on a construit avec tant de zèle et de soin ; précurseur du néant et avertissement de l’inutilité devant sa disparition. c’est la tristesse d’être au monde et de sentir la menace qui pèse sur tout
Quand la nuit s’emplit de rumeurs et le sang se met à bourdonner, le cœur s’affole et le souffle nous manquer. une main s’enfonce dans le manteau diurne d’un grand rapace empaillé de plumes… c’est un ciel sans étoiles, des abîmes sans aurores; où le silence parle et l’ombre voit… dans cette nuit ténébreuse, des cris sont jet
Lettre à… les osselets du destin sont jetés, ils ont parlé, la finalité annoncée est irrévocable, ils ne mentent jamais. comme toute superstition elle est ancrée au fond de nous et nous lie, malgré nous, avec ses racines invisibles mais puissantes, à la terre… à elle qui habite maintenant dans un monde où le ciel est toujours pur et
À juliette pendant la nuit tu apparais. ton ombre frôle les murs froids, laissant des traces de ta venue. tu échappes à la lumière si crue. j’aurais voulu te revoir encore une fois… à l’aube tu t’évanouies comme un fantôme. tu glisses dans le miroir de mon âme que je ne puis voir… longtemps encore la mer viendra s’échouer sur
*kienholz* *hommage à l’artiste américain kienholz* *the state hospital 1966* . anesthésie générale des volontés blafardes. le cruel visage à la bouche figée. dans l’oeil nage le poisson fou. verre transparent et l’eau stagnante, ajoutent au profil sa folle folie. . ans bett geschnallt, unbewegt, kaum der körper sich noch dreht. ein
„die fledermaus“ dessin 37.5x27.5cm ehre 2020 "die kleine fledermaus" je suis la petite chauve-souris, sauvage et innocente, vivant dans les ténèbres, car la lumière du soleil me blesse et la clarté m’aveugle… aussi je préfère la nuit quand tout est silencieux. alors, je dors pendant le jour… et je rêve beaucoup… poursuivie par d
Pour la maison aux volets bleus… ou… le temps s’est arrêté. lorsqu’on doit quitter une maison à laquelle on était attaché et où l’on a connu des heures de grande, de profonde félicité… la magie, son charme et son enchantement même demeurent présents comme dans un évanouissement de bonheur. tant de choses ont changé depuis…
Istanbul… sur les traces de pierre loti (julien viaud) istanbul… quel sortilège évocateur ! 1 eglise-saint-sauveur- in chora istanbul évoque l’impression que quelque chose commence, présage on ne sait quoi de délicieux et de funeste. sur un ciel presque rose, baigné dans la lumière du couchant… se découpe la magnifique silhouette s