The Hateful Eight ou l'Amérique en filigrane Tout, dans l'annonce du huitième film de QT, laissait présager d'une "tarantinade" en bonne et due forme. D'Ennio Morricone au format 70mm ressuscité pour l'occasion en passant par un casting très "Tarantino All-Star", nous avions anticipé ( à tort ) un western épique parcouru de fulgurances pop,
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Au détour d'une balade folk, Glen Hansard, du groupe The Frame, clame son spleen, seul dans le froid des nuits Dublinoises. Une belle introduction pour un film musical touchant par son minimalisme et son épure qui n'avait pas laissé le grand Steven Spielberg indifférent à sa sortie.
La récente sortie de Creed, spin-off basé sur l'histoire du fils d'Apollo Creed, nous a donné envie de revenir sur une des scènes cultes de la saga Rocky Vêtu d'un jogging grisâtre maculé de tâches, Rocky grimpe frénétiquement les marches du Philadelphia Museum of Art sur le "Gonna fly now" de Bill Conti. Tout le monde a en mémoire cette
Un été avec Monika - Ingmar Bergman ( 1952 ) Y'a t-il regard-caméra plus troublant que celui, improvisé par Harriett Andersson à la demande d'Ingmar Bergman dans cette scène décisive d'Un été avec Monica ? Peu probable, tant le cinéaste signait ici un moment d'intimité d'une rare impudeur, celui d'une femme prête à trahir son mari cher
En 1941, à l'aube de l'entrée en guerre des Etats-Unis, Fritz Lang faisait apparaître Hitler dans le viseur d'Alan Thorndyke ( Walter Pidgeon ), célèbre chasseur de fauves Britannique. Ce dernier tirera d'abord à blanc, comme pour se convaincre de la possibilité d'un tel assassinat, en saluant sa victime, avant de se raviser puis de charger
Tournée en 7 jours et nécessitant 70 prises, la scène de la douche de Psychose reste encore aujourd'hui l'un des sommets de l'histoire du Cinéma. Magistralement construite, elle nécessita tout le talent de Saul Bass, fameux concepteur de générique à l'origine du storyboard de la scène, du compositeur Bernard Hermann, dont les stridents vio
Voilà des années que nous assistons, pauvres spectateurs impuissants, au délitement qualitatif de la grosse machinerie Hollywoodienne. Si quelques exceptions surnagent au dessus du lot ( du pseudo-cérébral Inception , aux récents et snobés Lone Ranger et Pacific Rim , en passant par The Dark Knight ), mieux vaut être bien armés pour subir
Grand pervertisseur de genre, Robert Altman, alors célèbre depuis la sortie de "MASH" en 1970, livrera un an plus tard un anti-western élégiaque du nom de John McCabe. A l'image de cette scène d'ouverture, voyant le personnage principal joué par Warren Beatty chevauchant dans le froid et sous la pluie à destination d'une ville minable et bou
Dans cette formidable scène, Martin Scorsese parvient à saisir toute l'incongruité de la figure du gangster. L’inénarrable Joe Pesci y campe l'imprévisible Tommy DeVito, malfrat au débit mitraillette aussi amusant qu'effrayant Ici, la vie ne tient qu'à un fil, l'importance des mots est capitale et l'on passe du rire à la peur en un claque
La scène de bain de Marilyn Monroe pour le Something's got to give ( 1962 ) de George Cukor est surement la scène la plus célèbre jamais tournée pour un film inachevé. En proie à une paranoïa ambiante inhérente, entre autre, à sa consommation d'alcool et de barbituriques, Marilyn Monroe ne se présentera que sporadiquement sur les plateau