Il y a beaucoup de fins en ce moment. Beaucoup de choses finissent, se terminent. Des choses arrivent à leur terme, lentement, normalement. D'autres fins sont plus abruptes, douloureuses, ou surprenantes. Je n'aime pas les fins. Je n'aime pas la fin. Je n'aime pas sortir d'un livre, qu'on m'arrache aux pages, à l'histoire, à l'univers, aux perso

Ah si j’étais un homme… Je ne serais pas capitaine. Ça pue d’être capitaine, c’est plein de responsabilités chiantes et de gens coincés devant vous. Moi si j’étais un homme, je serais grand, brun, les yeux verts et les cheveux longs. Tout comme maintenant en fait. Moi si j’étais un homme je pense que j’aimerais les filles, et q

Elle : C'est bien qu'on ait pu se rencontrer de nouveau. Ça faisait longtemps. On va pas dire qu'on se manquait, ce serait malvenu, et puis un peu hypocrite, mais c'est bien. Je suis contente de savoir ce que tu deviens. Que tu vas bien, que tu as rencontré d'autres personnes, que tu as avancé, tout comme moi un peu. Moi ? Après toi j'ai été

J'aime bien quand vous me donnez envie d'écrire. D'ailleurs je dis "vous" mais à qui je m'adresse hein ? Peut-être à toi dont j'avais mis le blog de côté, en me disant je vais lire plus tard, et dont j'ai tout dévoré les mots d'un coup d'un seul parce que ça m'a happé. Ou peut-être à toi, dont je guette les mots justement, parce qu'ils

Le grincement de la chaise. Le bruit des doigts sur le clavier. Le flip/flap du paquet de post-it quand je joue avec. Les converstaions des passants. La guitare sèche et le chanteur au bout de la rue. Le bruit de perceuse dans l'immeuble en face. Le bruit fondu des voitures de l'autre côté des bâtiments. Le piaillement de certains oiseaux. Je n

Dans la rue où je travaille il y a le monde. Le pire comme le meilleur. Toutes les langues parlées, et certaines langues mortes. Je ne pense pas que les parisiens se baladent vraiment ici. Ou alors ils ont leurs spots secrets, leurs alcôves dans l'enfer touristique. On y croise tout le monde. La misère la plus crasse et la bourgeoisie en vison.

Je fais ce que je veux. C'est mon corps, ma tête, j'en fais ce que je veux. Cette affirmation n'était pas si évidente avant. "Oui oui, tu fais ce que tu veux, mais tu serais mieux avec les cheveux longs / 2 kilos en moins / des vêtements qui cachent plus, etc." "Oui oui bien entendu que tu décides de ta vie, mais ce serait tout de même mieux

Quand on est une sorte de nana contemporaine célibataire vivant dans une grande ville, on a une vie « sentimentale » variée. (Oui, je fais exprès de faire soft. Parce que la question n’est pas vraiment là en fait.) Dans ces cas là, et surtout quand vous l’assumez haut et fort, les gens autour ont tendance à vous voir forte, presque insu

Ouhla que c'est poussiéreux ici. Pardon. Je vais me reprendre. Donc. Mère Castor, raconte nous une histoire !! Aujourd'hui mes petits, c'est l'histoire d'un jeune homme, et en même temps c'est l'histoire de plein de gens en même temps. Je sais ça semble compliqué, mais vous allez comprendre. Aujourd'hui c'est l'histoire d'un mec qui voulait

J'ai envie. J'ai envie de la même chose que tout le monde. J'ai envie de cette chose qui nous manque tant. Nous sommes nombreux. Certains l'ont, et en profitent, parfois même en public. D'autres l'ont et gâchent tout, faute d'humeur, de timing, que sais-je. Et d'autres comme nous, n'en ont pas. Et crèvent d'envie. J'ai envie. Je crève d'envie.