Cette après-midi, vers 16h40 heure locale, en centre ville, j'ai vu un petit nain en trottinette.
PoireCourageux1511517
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Politique
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C'est l'an nouveau qui se réveille. ma fille se réveille. elle dit trois mots. incompréhensibles. je l'y prends à s'exprimer sans aucun sens, du derrière et devant, la bouche retournée, les lèvres effleurées, tu dis n'importe quoi ma fille, tu ne dors pourtant point. elle me regarde outrée, son père menace, c'est moi son père. des doigts
Des ombres carrelées s'angoissent les nuages cachés des vues basses ils s'empêtrent les cheveux et par ici en averses crépitent parmi les feux les turbulences vénérées de tous les âges imagine une pluie portée par le remord qui éviterait veinarde la boue et le sang qui ne participerait jamais à aucun enterrement mais qui puerait de loin
Nappages de chair, les sangs enlassés, les peaux s'éveillent s'emploient au toucher, se balancent serrés, et n'y pensez pas, du fruit des nuées, une éternelle prêtée, empruntée à l'honneur, à l'affaire dispensée, le titre evidé(e), en -ée la virgule prête, j'y ai dépensée, presque ma ligne
- guisons de retenue sur le déguisement blanchâtre en tête à queue de la métisse désannelée par l'amérique qui tique au soir d'où les brancards dépenchés pleins de my baby quelle canaille creva l'écume et tu croiras qu'on la discourt pour moi décapé au dévisé , en pic à coeur, en plein , c'est ce regard ce vue qui chaude, transpire
Que trois virgules suffisent au vent que notre sang s'efface en blanc elles disparaîtront sans sélection et les mots creux se démodant le souvenir crachera sur l'âge, parions que mes belles , au plus quelques dizaines ou mieux elles se souviennent autant des saisons sous la chaleur des drapeaux que des oligo-s qu'elles s'en souviendront même s
Samba de jour toujours, agrémentée sans contrôle par les sursauts surfaits de trente mous posés là en guimauve. ecartées les horaires valeureuses molle s’enchaîne à son gousset, par les hanches ces vallées blanches, rondes et ferrées un régal immaculé. point ? un autre homme vin additionné de whisky single molle et lui dansent seul,
De molle en plis sous le préau pleine de lumière et revenant d'été, blanchie encore vide en attendant, molle enfant sourit à la pluie, et pleure aussi, elle me regarde de balance, de dos, elle me regarde aussi dernier entrain, à quand rebondie ? gloire au matin, molle attendrie s'affaire en couette, virgule des hanches, pourvu que trois. la f
Le temps, je ne sais pas, sauter périlleusement, embaucher la placeuse, maigrichon des façons qui s'étrennent, s'empressent avec sentiments, sous des eaux tripotantes, ventriloques, elles se déshonorent - mes rieuses elles se pastichent se vendent et le vomis m'en dégueule, alors je mens. on en vient à moi, à celles, à celui, cercle circons
Aux angles d’un visage elle griffonne ses pères avare d’écoute les oreilles froides ma s’enchaîne de mots ma contrainte d’épiée se regarde dans nos yeux, se parle à nous, se réfléchit et du miroir devenu je me brille d’elle qui s’éparpille, en chevrotine, en virgule, vapeur. 1
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