Entre le noir et le blanc il n'existe pas d'intermédiaire. On aurait tort de croire que le gris pourrait exercer cette fonction, lui qui dilue le contraste en une teinte uniforme. Le blanc et le noir sont. Comme le bien et le mal. Le Bien et le Mâle ? Le jeu de mots était facile. Mais je ne rechigne pas devant quelques facilités parfois. Surtou
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Mots et image sur une expérience personnelle.
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Articles à découvrir
A B. avec lequel tout a commencé et qui me manque. A D. qui, alors que j'admirais une très belle femme, parfaite sous tout rapport, me dit sur un ton désabusé : "la perfection n'a pas d'invention." A P. qui me parle poésie sur un trottoir à minuit. A M. qui a su me surprendre avec ses portés. A Pierre qui ne se souvient jamais de mon prénom
Visiter une exposition de peinture, comme celle de Bacon au Centre Pompidou, présente toujours une part de contraint. Parce que l'élément de surprise et donc de saisissement peut difficilement surgir lorsqu'on sait ce que l'on va voir. La rencontre ne va pas se faire fortuitement au détour d'un couloir, là, comme par magie, comme ça l'a été
Samedi comme dimanche j'ai bien dansé, si bien dansé qu'il arrive un moment où, la fatigue aidant, mon impatience étant calmée, je vais m'assoir un peu en retrait, rassassiée, j'observe et j'écoute la musique, détendue, légère, - apaisée. Absorbée par la lumière claire de l'abside de l'église, je me suis demandée si les morts regrett
Parfois, il m'arrive de regretter mes paroles, non pas forcément parce qu'elles auraient été déplacées, agressives, ou fausses, non pas parce que j'en aurais trop dit sur moi, ou sur les autres, mais tout simplement parce que d'une manière générale je trouve qu'on parle beaucoup trop, - pour pas grand chose : on fait du bruit et on se sent
Uploaded by sandrin on 2019-08-20.
Tout danse à Tarbes. Du cœur jusqu'au squelette. Un sans fautes, ou presque. Une vague histoire d'éventail cassé. Je lui ai dit à l'indignée furibonde que je m'en fichais, j'étais bien. Quelques saucées la nuit venue, une lune pleine pour accompagner les noctambules. C'est tranquille Tarbes, paisible. Le j
L'art contemporain : entre foutoir et cacophonie, reste-t-il de la place pour l'art ?
Palais de Tokyo : un bordel, où l'artiste est la pute ?
Prince.sse.s des villes dans un palais, quoi de plus de naturel ! A l'ère de l'écriture inclusive qui plus est. On y voit des amas d'objets et de couleurs, de plastiques et de formes, et bien sur beaucoup de vidéos, beaucoup de charivari. Le monde, je le crains, est envahi par le brut et
Il est des livres qui font rêver avant même que d'avoir été lus. Voyage au bout de la nuit (Céline) Des livres aux titres si chargés de sens qu'il serait vain de vouloir en épuiser les possibilités. Ils viennent faire écho à ce qui se trame en nous, écho peut-être à nos propres mots qui n'avaient pas encore pris forme, n'avaient pas tr
Samedi soir, pas loin de la place Gambetta, et de mon vendeur de DVD préféré (vous savez ? celui qui a été élevé au rang de personnage par Yannick Haenel dans Tiens ferme ta couronne) a eu lieu une milonga alternative, Néolonga. Vous pourrez lire leur charte sur leur page facebook. Je sais que certains pourraient considérer cela comme, com
Un jour j'ai décidé de tenir un blog sur le tango, ou plus exactement sur mon tango. C'est le pseudo qui m'a posé problème avant tout. Et peut-être que l'autre jour, j'ai enfin compris pourquoi j'avais choisi Gribouille. En dehors du très vague souvenir d'un personnage gribouillant, - et certes je griffonne à l'occasion, dans les meilleurs d