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Christian Leroy

Christian Leroy

Ses blogs

Des mots d'instants

Se poser, capter, écrire des instants de vie qui intriguent, apaisent ou interrogent. Parfois, un peu de rêverie et de fiction s'en mêlent.
Christian Leroy Christian Leroy
Articles : 34
Depuis : 03/10/2015
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

Le bisou : le trésor tant recherché ?

Le bisou : le trésor tant recherché ?

Vous vous rappelez de ce bisou ? Abandonné nonchalamment sur la joue d'un garçon comme d'une fille. Sur la joue d'une amie, d'un ami, d'une tante, d'un oncle, d'une grand-mère, d'un grand-père, d'un grand corps malade ou d'un être tout chétif... Je pourrais en ajouter tant et tant de ces êtres qu'on aime et qui ont tant besoin de ces moments
Ce goût amer de vie interrompue

Ce goût amer de vie interrompue

On aurait aimé s'en détacher. On aurait aimé l'oublier. On aurait aimé ne plus y penser. Mais c'était encore plus fort que lui : ce foutu virus s'est rappelé à nous de manière tout aussi virulente qu'il peut contaminer de façon fulgurante. On se sent encore plus étrange après cette nouvelle conférence de presse. Davantage perdu, menacé
Bien plus qu'une couleur

Bien plus qu'une couleur

Elles étaient des cent et des mille. Sur ces petits bouts de plexi que tu ne cessais de regarder, les uns après les autres. Quand tu recevais de nouveaux échantillons. Tu les manipulais un peu avec la même dextérité qu'ont les Grecques - et les Grecs - avec leur "komboloi". Tu regardais ces différentes teintes, par-dessus, par-dessous, face
Et la bonne année !

Et la bonne année !

Un retour inespéré sur le théâtre de mes mots d'instants. Penser que l'article précédent promettait un retour qui n'en a finalement pas été un. Parce que la vie défile, les saisons s'enchaînent, les histoires d'existence se suivent sans parfois laisser le temps d'un souffle. Et, là, l'envie irrépressible de souffler, justement, des mots

Là où notre vie retrouve un de ses sens

Pour nos parents, nos grands-parents. Pour elle ou lui qui n'a rien demandé, qui ne comprend pas. Pour celle ou celui qui a déjà vécu une guerre. Ou deux guerres. Et qui ne comprend pas cette période infecte avec une bombe d'un autre genre sur la gueule. Une bombe appelée "solitude". Puis, ces règles. Une ou deux personnes, max, dans la réa
Pas que des mots

Pas que des mots

Comme les mois passent et comme les mots ont manqué. Un livre s'ouvre à nouveau. Celui d'une vie un peu rafraîchie, un peu réajustée, le plus savamment dosée possible. Et donc d'autres chapitres, d'autres mots d'instants qui s'égraineront, s'éparpilleront, se croiseront, se sèmeront sur cette page. Avec ou sans pudeur, ce sera selon... Ave
Les yeux bleux

Les yeux bleux

Et me revoilà à nouveau sur "mon" blog après de longs longs mois d'absence... Avec un oeil... Pourquoi me direz-vous ? J'ai toujours adoré les yeux et ce qu'ils signifiaient, bien malgré eux. Un peu comme des traîtres, finalement. Et on le sait : le regard en dit tant... En cette période masquée, c'est le pire du tout. Du moins comme du pir
Quand la douceur nous éveille

Quand la douceur nous éveille

Le soleil est levé. Ou pas. Mais nous pas le choix. On ne se synchronise pas avec lui. Notre rythme ne sera jamais le sien. Et encore moins dans cet hiver aussi imprévisible et regrettable car, oui, le froid manque. Le froid et, avec lui, souvent, un ciel si bleu que notre humeur ne peut que se pendre au crochet du positif et du sourire. Alors vo

La peur de l'annonce et renoncer

Nous voilà à craindre une annonce, des recommandations, des obligations,... tous pays confondus. Contraignantes ou non, c'est selon. On devra s'y faire, nul choix. Qu'en penser excepté que notre mode de vie s'en trouve extrêmement chamboulé ? Que nos rapports sociaux ne sont plus qu'inexistants à moins de s'en foutre ? Mon dernier verbe utili
"Coucou mon Isabelle, ma belle..."

"Coucou mon Isabelle, ma belle..."

"Coucou mon Isabelle, ma belle..." Tu répondais à ces simples mots au téléphone par un petit rire avant de longues conversations. Il me suffisait d'un fragment de seconde pour imaginer ton sourire et ton visage. Tant on se connaissait, d'un simple écho de voix, presque d'un simple murmure. Ne parlons pas des regards. Tu étais un livre ouvert