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Young Enemy

Young Enemy

Tags associés : poesie

Ses blogs

Prison de terreur aux barreaux d'acier

Mes propres poèmes, ma sombre vision du monde dans lequel, tristement, nous vivons.
Young Enemy Young Enemy
Articles : 8
Depuis : 25/05/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Enfermé dans sa tombe, elle observe les murs De cette cage, cet enfer, qui doucement la torture Et voilà que soudain, elle monte haut vers ciel La Belle qu’on voit mourir, qu’on observait souffrir Plusieurs images en tête, son sourire sans pareil Sa tendresse, sa finesse, sa façon de chérir Et voilà qu’aujourd’hui, assise sur sa tombe

Hymne d’horreur

Amalgame d’ignobles présomptions Je suis discrimination Je crie racisme, mon pseudonyme Isoler est mon Hymne À la vie, à la mort Isoler est ma bible En toute lucidité Je vise ma cible Sans remord Le sang froid Vivement je mords Suis-je hors-la-loi? YoungEnemyUnknown

Eau de rose

Les larmes aux yeux, le sourire en coin La mort dans la tête, le sang sur les mains Mémoires odieuses de souvenirs d’horreur Envahi par le noir, pétrifié par la peur Anéanti par le sang, il succombe à l’appel Armé du pinceau, un éclat d’aquarelle Du rose pastelle aux gouttes rouges vif Le voilà de nouveau le sommeil allusif YoungEnem

My God Is The Sun

Transportes-moi dans cet autre monde Ou le peuple te vouant culte N’a d’yeux que pour le soleil Ou âmes obéissantes N’ont pas peur du sommeil Ce long voyage certes vide, Nous hypnotise. Acide, Il n’offre que ce goût immonde Qui lui, nous force à cracher au sang, Tout l’esprit dans ce corps vivant. Emmènes-moi dans cet autre monde Ou

Incendie de souffrances

Corps ravagés Esprits ombragés Nous ne sommes plus que cendres Terres infertiles Âmes infantiles Nous ne sommes plus que cendres Ensemble vide Peuple invalide Nous ne sommes plus que cendres Tous troublés Tous enragés Nous serons toujours cendres -YoungEnemyUnknown

Ô monde de merveilles

Ô monde de merveilles Faisceau de lumière sur ses paupières, La Belle se réveille puis, s’émerveille. Tant de hâte et de joie dans son petit corps d’enfant Elle n’a plus peur d’affronter le monde maintenant Enfile sa veste, ouvre la porte Et tout ce qu’elle aperçoit n’est qu’une nature morte. De tous repères elle fut dépourvu

Ce soir, peut-être ce matin, Je laisse s’écouler mes fantômes : Mes peines, mes haines, Qui, à long terme détruisent mon âme, mon corps Jusqu’à atteindre ma raison. Ce soir, peut-être ce matin. Allongé dans mon lit, Mes fantômes m’immobilisent Et me draine de toute ma joie de vivre. Ils m’enlèvent l’amitié Et vont jusqu’à m

J’écoute les heures passées, assise sur le sable J’attends qu’il vienne à moi, le bonheur exécrable J’aperçois les minutes et ressens les secondes J’observe les rochers, la mer qui les inonde J’entends mon cœur qui bat, il bat à l’année longue À son rythme j’endure le transcendant prologue Soudain le temps se fige, un soup