Andy goldsworthy andy goldsworthy est un géni de l’environnement, un artiste qui creuse les glaces et les neiges, construit des arches, taille des branches, compose avec des feuilles de chêne ou d’érable, ordonne des fleurs de pissenlit, ou assemble des galets. il travaille avec le soleil, la pluie, ou la mer, et met à profit les saisons po

Travail de groupe guesdon mélanie gentes violaine torre camille payoux adeline etudiantes de btsa aménagement paysager tecomah 2008-2009 « insérer une forme géométrique rouge dans la nature » était notre thème de mil-art-in-situ cette année. nous avons choisi de réaliser notre œuvre dans le catalpa car sa forme arrondie, ses branchages

1) une découverte progressive… → ce jardin n’est pas visible depuis la route de la poste. → il se découvre au fur et à mesure de la montée vers la maison à travers des fenêtres cadrées par le tronc des arbres. 2) une aire de stationnement végétalisée → au niveau de la maison, un massif central. → ce massif permet d’en faire

La défense, 2007 premières impressions comme des phares dressés au milieu de cette immense esplanade, comme des personnages m’adressant des clins d’œil, défiant les lois de la gravité, plantés là au milieu du vide, comme nous invitant à nous envolés, ces signaux avec leur œil unique, me regardent malins de toute leur hauteur. si frê

Projet pour un jardin dans le village de saint-maurice-sur-moselle dans les vosges mr g. possède dans ce village une ancienne batisse du style art déco. lors de notre rencontre (avec ma promotion de licence aménagement paysager), il souhaitait que le jardin, essentiellement composé d'une grande pelouse sèche et de massifs de bordure laissés

Un jardin aux allures du sud un petit jardin tout en dénivelé, à aménager de façon à agrandir l'espace et de donner l'envie de découvrir ce qui se cache au fond. allez de découverte en découverte, au gré des divers espaces aux ambiances varriées qui le composent. par camille

On s’est perdu ! on s’est perdu ? non, on arrive bien sur la place, la plaaaaaaaaccccccceeeeeeee, trop de place… déboussolée par ce bâtiment blanc, éblouie par cette lumière, réverbération du vide, cette glace, cette immobilité, perdue dans l’infini intergalactique, ce désert au centre de l’univers, entre deux mondes et pourtant