La fleur, Elle donne au printemps ses couleurs magnifiques Qui font de la saison un moment si magique Et parant de beauté sa face toute ronde, Elle offre à demi nue sa vie quelques secondes. Le temps passe si vite à la voir dans les champs Que même les enfants ne peuvent l'attraper, Que même les oiseaux ne peuvent se poser Sur ses corolles ble

Travailleur voyageur C'est ton heure Un oiseau migrateur porte ses oeufs, La corniche de l'hotel les accueillent, Gare aux stalactytes, pas aux mites. Cet espace immergé, La neige, les rapaces. Gypaètes, milans je vous panse, Alors que les marmottes sont au lit Bien au chaud entre deux bouts de lards. Le reflet des carreaux me renvoie l'image d'u

Ces amours qui auraient pu être Et qui n'ont pas été Une lumière qui s'éteint peut être Un amour sans été A l'aube une ombre se dessine Pourquoi se réveiller Alors que tout me turlupine Un peu émerveillée J'entends ton ombre respirer Un vent ou une chaleur J'aimerai pouvoir tirer un trait D'un amour sans odeur Je courre dans la foule, da

Bien calé dans ton sofa Tu écoutes leurs blabla Je lache un pet discret Pour les gazer léger Leurs narines tressautent ,Leurs grandes bouches se dilatent, L air de rien je bombarde,Malgré leurs yeux bavards, Le silence se répand,​Je​ crois bien qu'ils ont peur de la portée du pet​, Leurs blabla sentent le rat. J​e cours vers la fenêt

j e s u is a l lee a une r ave part y j ' a i l ai s s e les ex tasy p o u r u n orangina a f i n d e sec o u e r m a p ulpe endormie. l a m u s i que pulsait , t a n d i s q u e m o n cor ps envoute , s e b a lan cai t . R i e n ne p o u v a i t m a r ra c h er a ce rythme ob sedant, j e ne s a va i s p l u s ou j'etais, m e s reves def i l aien t

Ici, les mille et une langue,pour vous ce soir elles tanguent .De brodway​ à java à vous les premiers pas .Tu gazouilles japonais? Tu te sens un peu niais? Alors fais moi des signes avant que je me signe Une langue ne suffit pas, rajoutez aux blabla des mimiques expressives, marocaines ou bien slaves. Peu importe la mesure,laisse venir le tempo

L'une s'en va, l'autre reste... Et partout la voie céleste Offre l'éternel spectacle Qui inspirait les oracles: Un amour s'épanche et fuit, Eteint la clarté d'un coeur Et rend l'espoir à la nuit. Bruno

Des souvenirs de trajectoires, indécises: La rue ( toujours elle) que surplombent là haut Des gargouilles artificielles, des bétises Vert de noir, têtes de femmes ou de chameaux, Eclairées sous un rideau de pluie d'un halo Mystérieux, atouts luxueux pour cette ville D'architectes bourgeois, pompeux et mégalos Cataloguant chacun de fat ou de

la vue bleue oui, l'ouie fine, usurpatrice maman, isoléee, seule, sans ses enfants, Edelweys Huée par des imbéciles! Eternelle au présent Irritable car sensible Lou Imagine Guagante l'Edelweys hitchkk

Rêve général universel, Rêve général universel Trop de travail, trop de profit, Pour les exclus, point de répis, Leurs heures se chiffrent à bas prix, Leurs cris se perdent dans ce système, L'argent domine, l'amour s'éclipse, rencontre. com fait du business Tu prends tu jettes, c'est ça le hit? L'illimité devient la norme, Ma tête est