Il ne bouge toujours pas. il est stupéfait ! l’angoisse paralyse son corps. les douleurs de sa tête et de la claque que l’homme vient de lui donner dans le dos raisonnent dans tous ses membres. comme une statue de cire du musée grévin il reste droit. devant lui un spectacle époustouflant se déroule. il ne reconnait presque pas l’endroit
Ariabat
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Ariabat
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Histoires d'écritures
Des articles, des reportages, des essais, des images, des poèmes, des astuces, du vécu, des ressentis. Un meltingpot d'idées, d'opinions, d'imaginations et d'aventures que des lettres, en missionnaires, s'essayent à raconter!
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08/04/2005
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
La sonnerie de son téléphone raisonne. une demoiselle s’approche de lui. il est toujours étendu face contre terre. l’herbe lui caresse le visage. le vent frais du matin soulève ses cheveux. il est habillé comme un marin. elle se dit qu’il ne lui manque que la casquette. elle se penche vers lui. lui passe la main dans les cheveux. la reti
Ce matin de la lucarne naturelle que forment les contours de mon bonnet et l'écharpe de marin qui me couvre le nez comme un bandit du far west, la nature m'a offert un présent. cela fait 23 ans que je viens dans ce pays, 23 que j'y ai vu le soleil et la pluie, 23 ans que je l'aime et je l'apprécie, en 23 ans je croyais avoir vu l'essentiel ou pr
Il est essoufflé. déjà la nuit commence à devenir moins sombre. l’ambiance est calme. pas un bruit dans ce paris matinal. c’est l’hiver. l’absence d’électricité dans les rue et tous les commerce ralenti la vie. il marche rue halévy en direction de l’opéra. son épaule lui fait toujours mal. il se prend le bras en bandoulière po
Le bus avance doucement. les piaillements des enfants sont de moins en moins gênants. ils disparaissent presque. comme un vieux jukebox au fond dun bar de la 66, les discussions s'installent en bruit de fond à peine perceptible. des corps fatigués sombrent dans la spirale du sommeil. l'été n'est pas forcement reposant! les yeux se ferment et d
Plus qu’un an les amis ! profitez en ! et oui, plus qu’un an avant que les cieux nous reprennent ce qu’ils nous ont donné il y a belle lurette. dans un an maintenant nous seront surement engloutis sous les flots, ou répendus en cendres dans le néant de l’univers… quel programme ! sinon, dans un an, nous serons toujours en train de vivr
Jour 1: mes yeux commençaient à se fermer de façon trop régulière. cela faisait maintenant plus de 6 heures que j’avais fui ce calvaire. le tableau de bord de ma voiture allait bientôt me faire signe que le réservoir tirait sur la réserve. je roulai. depuis cette après-midi, je roulai et la nuit commençait à tomber progressivement sur
L’homme s’approche de lui. lui se sent de plus en plus faible. il est désormais assis contre un mur. un mur de briques sales. « encore des foutues briques ! ». l’éclairage public s’estompe. paris va plonger dans quelques heures de noir avant le levé du jour. il a peur de ne pas le voir. peur de ne plus voir le jour. peur de ne plus voi
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Entre mer et montagne, il existe un pays, un endroit où les gens parlent avec un accent, ce n’est pas une campagne, ni même une cité, sur quelques kilomètres se côtoient les bergers et les pécheurs discrets, ici les gens sont vrais, et se promènent toujours coiffés de leur béret, certes au premier abord, il y fait un peu froid malgré le
Il ne souvient toujours pas de ce qu’il fait ici. dans ce quartier sombre et lugubre. il ne sait pas non plus comment il est venu, ni pourquoi ? toujours cette angoisse. quelle heure est il ? quel jour sommes nous ? il est grogui, encore un peu sonné ! il marche difficilement, en fait il trébuche régulièrement. a chaque appui contre les murs