Vous pouvez désormais nous suivre sur le nouveau blog à l'adresse suivante http://lesateliersdetraverse.wordpress.com
Ateliers de traverse
/fdata%2F0250688%2F%2Favatar-user-327111-tmpphpeh4en1.gif)
Ateliers de traverse
Ateliers d'écriture: textes, animations, événements, publications
Ses blogs
/fdata%2F0250688%2Favatar-blog-6578658-tmpphpy5pUFd.gif)
Ateliers de traverse
Ateliers d'écriture: textes, animations, événements, publications
/fdata%2F0250688%2F%2Favatar-user-327111-tmpphpeh4en1.gif)
Articles :
453
Depuis :
14/02/2006
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
J'ai cherché la vie fantômatique des images, comme on s'endormirait une nuit dans la forêt. j'ai trouvé une méditation sur le cinéma et la photographie au palais de tokyo. j'ai retrouvé mnémosyne. j'ai entendu des histoires de fantômes pour grandes personnes, j'ai marché sur des projections d'images choisies par didi- huberman, revisionn
Soleil d’été l’éternité nous déborde
Après avoir bu un lambrusco, elle a encore cherché cette odeur de cuir d'italie qui soulignait autrefois la présence de sam à ses côtés mais n'a trouvé qu'un air de douce ironie : celui qu'il avait lorsqu'il la planta à la terrasse du soleil. ensuite pendant des jours, le nouveau visage de sam a flotté dans tous les espaces qu'elle travers
58600 iodes dans les algues brunes de ta bouche rouge
Les particules dansent électrisées dans les faisceaux qui traversent le grenier, l'été est passé sous la forme d'un épuisant jeu de cache cache avec le soleil. elle se réfugie souvent là-haut à l'abri de l'agitation familiale, pleurant dans l'édredon de voluptueuses larmes. a terre, ces gouttes odorantes lèchent les pieds de l'idiot, sen
Feu d’artifices en plein jour eclipses de blancheur est-ce que la nuit nous métamorphose ? elle jette au hasard ses désastres il va falloir éviter la chute parce que nous ne savons rien de l’autre parce que minuit est loin douleur chromatique est-ce que le blanc supporte moins que le rouge l’accélération du temps ? elle aime, à l’aube
« l’homme se trouve devant l’irrationnel. il sent en lui son désir de bonheur et de raison. l’absurde naît de cette confrontation entre l’appel humain et le silence déraisonnable du monde » camus, le mythe de sisyphe. “devenir miroir, c’est se réduire à n’être que surface réfléchissante: la conscience muée en miroir éprouv
C'est un pas de côté, c'est emprunter les chemins de traverse, une histoire de princes qui devient motif fictionnel millénaire : tu es l'énigme infime dans une autre infinie, tu apprends de l'inattendu, de l'imprévisible, de ce qui semble le plus aberrant - la mort bien sûr, mais aussi la présence des voix et des corps perdus, celles et ceux
J'aime le travail : il me fascine. je peux rester des heures à le regarder. jérôme k jerôme