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Articles : 13
Depuis : 19/01/2012
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

...nous fait pressentir que nous aurons toute notre éternité pour contempler se sourire, toujours nouveau comme le premier matin de la création...

...nous fait pressentir que nous aurons toute notre éternité pour contempler se sourire, toujours nouveau comme le premier matin de la création...

Son mépris est désir inavouable, il s'envole, se noit, dans l'apparence d'un dégout passionnel. Les idées flottent autour du corps, entourent le corps, il a compris sa marche, l'irrévocable marche de sa perte. Le corps se perd alors et l'âme se tait. tu avais crus en l'oubli de toi même, prete moi ton nom, fais moi être l'ultime aboutisseme
de lumière verte

de lumière verte

dimanche 1 décembre Dans la ville, l'irruption du rêve, soudainement, par mégarde, sa marche là mène vers le monument de l'irréaltié. La vie est une question de seconde, se dit elle, alors que son pas rencontre le sien de pas. Soudainement, par mégarde, contre l'intention du réel, l'accomplissement aléatoire des rencontres. Le soleil dans
Automne rouge

Automne rouge

Je ne bouge qu'à la finitude des choses. Ici, la nuit se couche sur les tristes couleurs de l'automne. Le corps se souvient des odeurs de la nuit. Parsemé, autour de lui, en lui. Et il se perd en elle, le nom de l'amant dont les entrailles s'engouffrent. Il y a des images irréversibles. Ton nom est lumière qui s'oubli. Voyage d'automne. Ainsi,
Souvenir du corps

Souvenir du corps

Des structures organiques remplissent la place. Absorbé, innocent, le corps éprouve la ville infranchissable, et l'onde rythmique le perce à jour nouveau. Isolé dans la place, il éprouve. Sensation des abîmes, la matière, la texture, la couleur de ces phrases est déploiement du souvenir. Naïveté de la matière qui modèle. Démesurément
Alors, Manchester.

Alors, Manchester.

Où étais tu pendant ce temps, cette minute silencieuse éparpillé dans la ville? ville nouvelle, à la respiration douloureuse, raison d'un air trop lourd.Visage d'une ville aux couleurs si ternes, si fade; Et amère, elle me paraissait être la réponse à ce désir, ce désir fou de te posséder, toi, nom de nulle part. Mais quelle marche j'ai

Achnasheen ( Achadh na sine )

improbable paysage. Dieu se rèvele ici dans l'aridité de la terre. La matière s'évapore. On y croit pas vraiment à la possibilité d'un tel lieu, monument terrestre. Les élements se rencontre et ici semble fixer le temps, perdurer l'éternité. L'homme est né et mort ici. Ici est la terre des présages, , n'est plus un chemin de l'attente, i
Musique électronique et imitation du réel

Musique électronique et imitation du réel

Selon la tradition aristotélicienne qui prône 'limitation du réel le but de l'art est de reproduire le réel, de souscrire la passion par une interprétation vraisemblable de la vie. Tout acte créateur doit ainsi se faire selon une imitation de la nature, donner l'illusion de la vie, du mouvement de la vie. On se questionne ici sur les possibil
Tu es homme de toutes histoires

Tu es homme de toutes histoires

à l'image des mots éparpillés les indicibles restent les plus belles promesses. Il ne faudrait toujours que des histoires sans mots. Ce sont les temps des grands récits qui ont tué l'altérité de la pensée, elle, voilée, derrière les murs de béton de la ville. Ici et maintenant se déploie le moment de la grande narration. Et le visage co

Dans la ville

La marche dans la ville. il est de droit et de devoir d'apprendre à se perdre dans la ville. La destination n'est que le pretexte de la marche. La marche : une constitution de sensations dans la mesure de l'espace. Cette mesure de l'espace dans la marche constitue le point d'accomplissement de sa déconstruction et par là même de sa révalorisat