Ne me quittez pas, cigarettes et joints. sans vous, je vais pas loin, avec vous, chais pas. ne me quittez pas, drogue dure ou drogue douce, mort lente ou en course, choix large en faux pas. ne me quittez pas la liste est si grande en morts ambulantes, c’est pt-êtr que la vie est triste par ici. ne me quittez pas il faut tout fumer tout peut se f
Citoyen du Laniakea
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Des articles qui essaient de cultiver une certaine exigence, notamment en faveur de cette citoyenneté
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Le parolier qui fait mal
J'ai une petite faiblesse, j'aime que mes textes disent quelque chose qui dérange le politiquement correct etc etc. Histoire d'espérer que mes mots, mes phrases vont étonner, surprendre, choquer... Qu'importe
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24/09/2006
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Musique & Divertissements
Articles à découvrir
La banlieue, c’est douloureux. c’est le lieu qui a le plus changé ces trente dernières années mais les choix politiques sont vieux on nous dit qu’il faut du calme pour pouvoir en parler. et on nous dit quand c’est plus calme de quoi voulez- vous parler ? on a d’autres priorités… la banlieue est sous perfusion. ce n’est pas l’arg
Paroles muettes cherchent interprètes instrumentaux vocaux pour que ces phrases ces mots que j’ai la faiblesse de trouver beaux nous donnent un jour la chance de goûter au silence car quand il parle en nous c’est notre mélodie qu’il joue… en d'autres termes, je suis un parolier dont les références d'écriture appartiennent à la chanso
Une mèche de cheveu, qui n’a jamais vu le ciel bleu. une mèche de cheveu, ça ne bronze pas. c’est vrai mais je me dis parfois, n’empêche, ça lui donne pas la pêche d’être toujours au placard. elle en a marre de l’isoloir. une mèche de cheveux laissée au vent, c’est curieux. un sentiment de liberté, qui s’exprime sans hésite
Dans un théâtre aux alentours,je suis allé aux accessoires.j’y ai trouvé entre autre chose dérisoirel’amour, oui l’amour,ce qui a de quoi me décevoir. dans un théâtre de mon quartier,j’ai fait le même constat gêné. dans les théâtres les plus anodins,des endroits délaissés aux cercles mondains,tout change sauf la quasi absence
Quand j’étais petit on m’a dit tu pourras mon enfant quand tu seras grand. c’est déjà remettre à plus tard en oubliant quand commença mozart. c’est en découvrant, en pratiquant, le plus tôt tout ce qu’on aime qu’on grandit le plus sûrement sans rabais ni gros problème a la majorité, oui à la majorité, le même refrain t’es
Le roi des cons est vraiment très con, mais n’y a-t’il pas plus con puis- qu’il y en a qui lui obéissent… n’est-ce pas pire, à vous de me le dire le roi de cons dit des conneries mais ne sont-ils pas plus cons ceux qui les font ces conneries le roi des cons donnent des ordres cons et ceux qui les appliquent sont de la même clique voir
Je cari, je cari, je caricature (mise en avant avec le procès du massacre de charlie hebdo)
Je cari, je cari, je caricature. je fais des dessins sans me soucier de rien, c’est ça la liberté du trait félin. je dessine même des morsures s’il faut s’écraser devant une foule mais qu’on peut bien l’ouvrir devant un groupe isolé, c’est que nos libertés s’écroulent. elles sont plus que jamais menacées (refrain 1) je cari,
Si un train doit suivre ses rails, un être humain se moque qu’on le raille, il fait son chemin. ca dure un bail, mais ce n’est rien tant qu’il travaille à se faire du bien. où qu’il aille, oui, où qu‘il aille, il regarde plus loin. il sort du bétail, fait parler ces entrailles, c’est son destin. se retrouve sur la paille, mais pas
Si les premiers veulent toujours nous faire peur des lointains, du prochain, d’la décadence, les seconds, leur truc n’a rien de meilleur, nous faire peur des premiers, ah, quelle ambiance ! jouer des peurs pour asseoir leur pouvoir, n’est-ce pas le propre d’une dictature certes très bien masquée par l’épais brouillard, qu’est ce mon