Dans les cales du bateau, vous êtes accueillis par une importante troupe de trolls. Ils vous souhaitent la bienvenue. Des dizaines de poux géants gros comme des melons sautillent, l'un d'entre eux saute sur le bras d'Aardîn, mais la prêtresse de Gorakiki le chasse : c'est pour eux qu'elle est venue. Les cales sont humides, on y voit la structur

Gadjila, bien qu’elle-même blessée, se penche sur Bog et lui impose les mains, faisant appel à la magie de sa Larme de Vie. Mais rien n’y fait, et le souffle du troll se fait de plus en plus faible. « Attends », intervient Minsc. « Il n’est pas encore temps pour lui de retrouver la Bataille Éternelle. Je vais lui donner mon eau d’Isi

Les retrouvailles avec ton clan et ta famille sont joyeuses. On fait la fête et on mange une des bêtes sacrifiées en début de saison car toutes ne peuvent pas être nourries durant la saison de Ténèbres. Les guerriers écoutent avec révérence et admiration les récits de tes exploits, qui commencent avec ton combat chez les Trolls (oooh !!!

Résumé (la suite en commentaires): Ouais mais quand-même, tu as la capacité de nager sous l'eau, pas de parler. Tu ne respires pas. Mais bon, il ne t'aurait pas répondu non plus. Bon, c'est un bon streumon. On le fait sur le blog dans le sujet "Gadjil" (je l'avais oublié celui-là) La langue des bateaux étant un dialecte de la langue de l'ea

Nous allons dans ce post continuer vos affaires de l’année dans le district de Weis. En chemin sur le fleuve, vous voyez un jour au loin quelque chose flotter dans les airs et avancer doucement vers le Nord. Ça ressemble à un bateau à la proue et la poupe relevées, mais qui vole. Il vous dépasse et disparaît à l’horizon. Votre arrivée

Jezra et les membres de ton culte s’émerveillent des exploits de Firshala dont tu peux être l’incarnation et boivent tes paroles. Tu es pour elles une vraie héroïne, vous pourrez certainement gagner de nouvelles adeptes, et si tu le souhaitais, tu pourrais certainement en conduire une ou deux sur ta couche. Celles qui le peuvent t’assiste

Qui ne dit mot consent, vous restez donc à bord. Il faut d’abord calmer le bébé, ce à quoi s’emploie la nymphe. Le reste de statues de bois sont soudain téléportée sur le pont où elles reprennent leur vagabondage erratique. Les suidoïdes (les petits humanoïdes à tête de cochon) commencent à remettre de l’ordre, à nettoyer les tr

Quelques guerriers enthousiastes se sont joints à vous, certains qui avaient fui la veille après la première bataille, d’autres motivés par votre reprise du berceau. Tous ont des masques qui leur ont été fournis, et l’anonymat reste de vigueur : en fait, il s’agit d’éviter les fuites si des prisonniers sont arrêtés et interrogés.

« Ah te voilà enfin, te dit ta charmante trollesse. Encore à courir de jour ! » Cependant, tes richesses te permettant d’acheter plein de bêtes pour nourrir le clan pour un moment, ton exquise épouse finit par pousser un grognement de satisfaction. Et le matin à la veillée, tous s’assoient et écoutent avec intérêt et admiration la na

Le Berceau ressort des marais du Sud, porté par les ondines de Zola Fel. Le vent est tombé, Gadjila a disparu, la grosse rigolade causée par les Brous n’est plus qu’un souvenir. L’ambiance est morose. Jarang scrute le ciel et se redresse dès qu’il y aperçoit un point. Mais ce n’est qu’un aigle, ou un héron, ou une vouivre au loin,