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electra-maribor.over-blog.com

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C'est bien difficile de parler de soi .Je suis a l'image de mes écrits, sentimentale, romantique. J'aime l'Amitié, l'Amour fusionnel, la tendresse. Les animaux me fascinent. Je parle aux arbres, aux plantes. Je respecte les insectes et je déteste

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Le blog de electra-maribor.over-blog.com

j'ai mis dans mes cahiers un nombre incalculable d'idées,latence en souffrance qui ne demande qu'à faire surface.J'ai décidé de créer ce blog aujourd'hui afin d'exhumer tous les sympathiques cadavres, pas vraiment morts du reste qui me narguent derrière chaque porte de ma demeure intérieure. Allez bon, Je vous fait visiter.
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Articles : 46
Depuis : 15/01/2011
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

B O N H E U R

B O N H E U R

bonjour solei, bonjour pluie, bonjour vent. O merveilleux moments ! détachés des aiguilles du temps. Nuit bleu, sereine, altière, la lune rève. Heures propices où nos corps se confondent. Evanessence, nos essences s'interpèlent. Unis, ton ambroisie se mèle à mes sucs secrets Regards confondant l'horizon de nos âmes. ELECTRA-MARIBOR
R E S U R G E N C E

R E S U R G E N C E

La compagnie d'un chien demande quelques exigences et Jérôme qui aimait son lit le matin, en était à oublier sa paresse pour les beaux yeux de son Bouvier des Pyrénées. Ce dernier avait une horloge dans la vessie. A sept heures tapant, l'imposant toutou avec une voix de stentor lui intimait l'ordre de l'accompagner à sa promenade journalièr
J' A V A I S M I S

J' A V A I S M I S

J'avais mis sa chemise et je marchais dans l'eau. Mes longs cheveux défaits s'étendaient sur mon dos. Je courrai dans le vent qui froissait mon jupon. Le soleil sur ma peau éveillait des frissons. J'avais mis son chapeau, sa dégaine de Poulbot. Une mèche de cheveux, un sourire de canaille. Tout en roulant des hanches, aux terrasses des bistrot
M E M O I R E P O U R L E J A P ON

M E M O I R E P O U R L E J A P ON

par electra-maribor.over-blog.com L'Orient s'enflamme dans le tumulte et le fracas. Son paysage quotidien, arraché, fracassé, dévasté, anéanti. Des volutes grandioses, explosent sonnant des glas d'apothéose macabre. L'Océan grondre ses réquiems dans une vague vrombissante chargée d'horreurs et de cris. Le peuple dans sa peur viscérale, la
L' A M E E B R E C H E E

L' A M E E B R E C H E E

Le vent dompte ses chevaux qui s'échappent dans un galop désordonné. Sous les bourrasques éclatées de rage, de folies dévastatrices, l'orage chiffonne les grands arbres qui gémissent lamentablement, la tète recourbée sur leurs branches tels des pénitents blessés de honte. La sirène hurle ses de profundis clamavi, sur des cantiques obscu
AVEC MON COEUR

AVEC MON COEUR

Avec mon coeur qui saigne des risques douloureux. Avec les désaccords d'un Amour malheureux. Avec mes bras qui broient, comme autant de regrets. Ces vaines Amours défuntes, cachées dans mes secrets. Avec mon être perdu que l'on désarticule. Avec tous les sanglots et ces spasmes gémissants, Qui hantent le fracas des orages qui hurlent, Sur mes
je reviendrai t' aimer

je reviendrai t' aimer

O mon Amour, mon être, Quelle est cette traîtresse Qui me vole à tes nuits, Qui enlève tes doigts au bout de tes caresses et qui cueille à mes jours Les fleurs et les fruits. Quelle est cette gorgone, Cette parque vengeresse Qui boit toute ta sève et s'enivre de toi. puis qui te laisse là, Pantelant et détruit. Se riant des sanglots et des
I L P L E U T

I L P L E U T

il pleut sur les chemins de ton visage, Ai-je bléssé ton âme porcelaine, Ces quelques larmes qui brouillent ton image, Viennent me dire que tu as de la peine. Pardonne-moi d'avoir douté de toi, Pardonne moi d'avoir si peu de foi. Egarée, ma confiance a peur de ces chimères! Toi si fort pour nous deux, gagnera nos combâts. ELECTRA-MARIBOR
sunset on the atlantic

sunset on the atlantic

Mes baisers se posent comme des papillons Sur tes yeux. Afin qu'ils s'ouvrent sur le ciel abricot du matin. Comme des cerises, des fraises, des framboises, Ecrasées entre nos lèvres. Nos souffles se mélangent et nos bouches Ont un goût de miel. Je te murmure tous les mots que tu veux entendre. Est-ce là cet enchantement!!! Nos corps apaisés o

R E S U R G E N C E

Elle continuait d'arroser ses fleurs et pendant quelques instants, il s'évada dans son babillage juvénile. Elle se mit à lui faire des confidences, comme à un vieil ami. - Voyez-vous, j'ai perdu mon mari voici deux ans, c'était au mois d'août, la veille de la saint bernard et depuis j'assume cette villa avec quelques peines, le parc est si gr