Certains diraient que cela les dégoute Mais pour moi il n’en est rien J’aime d’entre tes jambes ta choucroute Sans doute suis-je un peu lorrain Certains fuiraient à la simple vue De tes butternuts fatigués Mais j’aime tes mamelles biscornues Tes seins lourds, tes tétons rosés Certains me disent que tu es une phalène Triste et grise co
Zefhyr
Zefhyr
Bon bah voilà, on m'a demandé pourquoi je mettais pas tout mes p'tits écrits sur un blog et à dire vrai j'en savais rien...
Alors je l'ai fait !
Bref j'espère ennuyer personne...
Bonne lecture!
Ses blogs
Poèmes immatures
Un peu de poésie, beaucoup d'histoires.Une façon de voir le monde.Un blog tout simple.Un peu de moi.Merci de passer... Zefhyr
Zefhyr
Articles :
249
Depuis :
02/07/2007
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
J'ai laissé ma colère, douce mère Couler dans ma chair, tendre amère, J'ai senti la bile, sirupeuse et vile, Aller de mon nombril à mes cils J'ai vomi mes larmes, mes dernières armes, Humide vacarme, sur ma chair parme, J'ai senti le bleu, corps peureux, Couler un peu, dessous mes yeux. J'ai éteint mes pensées, choses insensées, Mis un voi
Ca fait bip bip, un gros beat dans ma poitrine, Vagues, chaleurs, bas ventre et perles rondes, Sensation de panique, je me sens miskine, Cœur, couvert de sueur, j’ai les mains immondes. Quand je t’ai vu, ça ne m’a pas vraiment frappé J’ai pas été ébloui, je ne me suis pas pâmé Peut-être un peu paumé, j’ai même moqué ton flow.
Mon bas ventre est en polyglobulie Sois prête et attends tout de moi Que je priap ise toutes mes envies Que je fasse durer nos exploits Je vais sans retenue mettre le doigt Pour ne plus jamais le retirer Sur ces vices que tu n’assumes pas Je vais te mithridatiser Je vais te coller à terre Je vais butiner ta fleur Appelle-moi coléoptère Je vai
Il voulait tremper son pinceau, Peindre de beaux tableaux, Y figurer sa belle, Illuminer sa vie, Comme un couloir sans étincelle, Comme une douce agonie. Il voulait comme un artiste, Déchirer les voiles sinistres, Échapper au réel, Construire une utopie, Peindre une éternelle Et merveilleuse nuit. Il voulait tremper son pinceau, Peindre de bea
Elle était ceinturée d'immeubles ternes Aux teintes grises, beiges et humides. Elle était sale, brillante, un peu en berne Avec sa fresque fantastique et timide. Elle avait ce don, ce talent incroyable D'éveiller toutes mes espérances Lorsque marchant, au détour d'une table, Je me retrouvais en sa présence. Et j'étais là, pour un battement
Des mots, des torrents de flammes, plus de passion que de raison, Dans mon âme et dans mon tout mon corps, je peux la sentir, La fureur de vivre, la colère de vivre, la douleur de vivre Surtout. Tant de mots qui ne sortent pas, tant de gestes que je retiens, Chaque jour et chaque nuit, à chaque minute et chaque seconde, Je la sens en moi la fure
Nous sommes tous des voyageurs, des nomades inconscients, Certains vont loin quand d'autres se montrent prudents. Nos trajets peuvent bien varier selon mille et une raisons, Tous nous ramènent toujours à nos douces maisons. Chaque pas qui nous éloigne de chez nous est une aventure Que l'on ne vit plus vraiment lorsqu'on y voit trop d'usure. On o
Je ne veux plus avancer, ils me manquent et je suis malade, Je suis malade d'exister, malade de voir ce monde qui m'accable, Je ne veux pas me coucher, j'ai peur de ne pas supporter demain, Je ne veux pas voir le monde avancer, je ne veux pas suivre ce chemin, Je ne le supporte plus, quelle horreur, ce monde qui s'éduque si mal, Je ne supporte plu
Elle parlait comme d'autres pensent, sans honte ni pudeur, Fière de ses mots et des autres, elle parlait avec humeur. Sa voix avait la fragilité et la force des étoiles nues, Raillée par la vie et ses maux, mais jamais abattue. Elle traversait ces jours avec une sereine révolte, De celle qu'on a quand on veut plus qu'on ne récolte, De celle q