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Sylvie Baille

Sylvie Baille

Un auteur de Nouvelle-Calédonie, présente ses publications ainsi que ses coups de coeur sur la Nouvelle-Calédonie

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Le blog de Sylvie BAILLE

Un auteur de Nouvelle-Calédonie, présente ses publications ainsi que l'activité littéraire et culturelle du Pacifique. Elle offre un regard sur la littérature d'île en île.
Sylvie Baille Sylvie Baille
Articles : 229
Depuis : 29/07/2011
Categorie : Mode, Art & Design

Articles à découvrir

"Toi sans moi" de Richard Djian

"Toi sans moi" de Richard Djian

"Toi sans Moi ", une superbe chanson de Jean-Yves Meuric mise en musique par Richard Djian. Bravo à nos artistes locaux !! En plus, je suis dans le clip !
Les nuages au loin semblaient des sentinelles

Les nuages au loin semblaient des sentinelles

Les nuages au loin semblaient des sentinelles Aux arcs lumineux visant la nuit au cœur Déjà l'aube avait peint le ciel de sa blancheur. La mer n'était encore qu'un antre d'ombres mortes Océan ténébreux aux lumières clandestines Teint d'ébène et de gris comme l'encre de Chine. Les vagues, noires et tristes, sanglotaient sur le sable Le ven
Détour à Port-Moselle, Franck Toubas

Détour à Port-Moselle, Franck Toubas

Détour à Port Moselle. Nouméa,vendredi,le matin,le marché, Le marché,les bijoux,cinq bananes,un café, Cinq bananes,minuscules, Cinq sourires,cinq virgules, Trop de monde,je m'ennuie,pas de ciel,trop de bruits, Petite ronde,dans les fruits,pot de miel,niaouli, Quelques pas,Port Moselle, Blancs les mats,bleu le ciel, Bout du Monde,parasols,vagu
Un baiser sur ton front

Un baiser sur ton front

Photo de David Sansen Un baiser sur ton front Et l'amour me soulève Il m'accroche au nuage Qui passe et toujours fuit Comme un rêve Du vent qui me caresse Je n'entends pas le bruit Je rejoins ton coursier Et sur lui tu m'enlèves Chaque nuit Regarde mourir le jour ! Vois ! La lune se lève Le bonheur nous rattrape Invite le ! Et l'ennui Qui sans
Femme en cage

Femme en cage

Femme en cage Femme, mère et amante A l’aube du plaisir Elle est celle qui enfante Et des hommes le désir. Bien que son corps soyeux Invite à la douceur L’étincelle de leurs yeux La foudroie dans la peur. Ses cheveux s’ébouriffent Sous leurs phalles qui se dressent Tels d’inflexibles ifs Qui referment la herse. Enchaînée au tamtam De
Je rêve des nuits durant

Je rêve des nuits durant

Je rêve des nuits durant La mer caressante Ses couleurs irisées Camaïeux infinis Bleus profonds Outremer Sa danse onduleuse Sa bouche crémeuse Qui baise tes pieds Et t’invite dans son lit de délices Je rêve des nuits durant La mer mielleuse La lumière qui fond dans ses eaux cramoisies Le diadème d’or qui couronne Son front de princesse

Cosmétique

Cosmétiques abusifs Y’a un hic, c’est pas tout Matraquage compulsif Faut rechercher partout Tout c’qui rend la peau douce Qui affine et qui lisse Tout c’qu’il faut dans sa trousse Maquillage, artifices Exfoliants, émollients Qui étirent et repassent Crèmes et soins purifiants Pas gratis qui décrassent Moi, je suis pas jalouse De tes
Marina Abramovic, Le regard

Marina Abramovic, Le regard

Museum of Modern Art de New York, 2010 Durant trois mois, sept heures par jour et six jours sur sept, l'artiste Marina Abramovic a invité les visiteurs à s'asseoir, un à un, face à elle, de l'autre côté d'une table, sans leur parler, échangeant juste avec eux des regards d'une telle intensité qu'ils déclenchent leurs larmes. Dans cet extra

Souvent l'aube cisèle mes pensées en portrait

Souvent l'aube cisèle Mes pensées en portrait. Je te vois, te dessine Et rêve tes beaux yeux. A leur regard j'aspire Je les veux qui me cherchent Me trouvent et luisent De perles de tendresse. Lorsque la nuit les scelle Qu'ils meurent, leur regret Toujours m'assassine Alors je pense à ceux Ceux qui déjà m'inspirent Et me tendent la perche Qu'

Oui j'ai peur de demain

Oui, j’ai peur de demain J'ai peur de l'aube sale Qui monte comme un râle De malade au matin Quand l’angoisse poisseuse Me laisse défaillante Sur la toile du présent Je sombre Frêle captive de l’incertain Dans l’antre d’une souffrance Enclose d’infini Où chaque instant souligne Ton obsédante absence Et parce que de ta main Ma main