Pour toi Deux Cœurs Yin et Yang ne font qu'Un, Ils tanguent et vibrent à l'Unisson, Se parlant d'amour même éloignés, Des voies provenant d'une lointaine nostalgie, Il serait vain d'essayer de les défaire, de les faire taire, c'est clair, Une brise suave plane à peine perceptible en Présence et entêtante, Avec cette Conscience Lumineuse, j
Williams Boyer
Williams Boyer
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18/01/2011
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Change avec le Changement, Marche et respire, Change avec le Temps, Marche et Respire, Change avec le Vent. Williams Boyer ©® Mars 2015
L'État n'est pas sensé être une entreprise capitaliste et il n'est pas souhaitable qu'il le devienne davantage. Notre République n'est pas sensé se vendre à l'économie de marché. Notre Terre n'est pas une poubelle à ciel ouverte... Lâches les conditionnements Inutiles De créer des besoins futiles De se voiler la face, et de se cacher der
M'aimes pas mal. Tu aimes encore Une femme Tu aimes encore Un homme. Tu m'avais dit Que tu m'aimes encore Tu m'avais dit Que c'était pour la vie Mais je le vois Tu dors dehors, Comme tu bois Moi je m'endors. Tu aimes encore Une femme Tu aimes encore Une femme... Tu m'avais dit Que c'était fini Tu m'avais dit Que c'était pour la vie Mais je le vo
Les roses fleurissent, un tas au bord, les pétales s'ouvrent dans les couleurs de la vie sereine, Ce vortex rouge des premières couleurs éclatantes, fait soudain jaillir la fraîcheur de cet environnement suave et chaud brûlant, Les feuilles reflètent la Lumière dorée en tore et de la douceur entourée glissent avec Joie, En assistant à la
Je t'ai parlé d'un instant, d'un moment, où un seul rayon baigne de lumière les alentours... C'est un Univers, un TOUT. La douceur persiste en libérant ton corps, tes os de cette chaleur cristalline qui te broyait, te faisait plier, ma muse. Les jeux... nous, écorchés, libérés par la Terre qui t'accueille, les mains chaudes virant au rouge,
Métissage Mes Tissage Métis Sage
Il respire profondément...en elle... À elle seule, elle est notre Tout, notre Empire Bienveillante, La Terre, mère nourricière de Vie, C'est à elle que je rends la poussière d'étoiles. Il se glisse lentement en murmurant tard Dans ce monde au teint de fée noire Dans un hâle encore doré, Elle sait lui rendre sa beauté éclairée. Dans son
Un regard bleu , Un doux regard d'encre, Une Lu m ière étincel a nt e , Une Lumière zen accueillante. Tel est mon chemin, Tel est ton destin. Mon Cœur est grand ou v ert à tes yeux, Ton Cœur à mes mots. Tu es mon Centre, Et dans ton sourire ch a ud. Williams Boyer ©® octobre 2016
Il était en Joie dans ce monde Dense Et dans cet instant il vit la Terre qui cessa de tourner Être simplement là, à sentir la Bonté dans ses bras Et toutes ses douleurs en elle s'apaisa Dans ce silence Divin La vie explosa entre deux battements de son Cœur. Williams Boyer ©® février 2016