(Travail en cours) Chapitre I : Partir ,Plus loin que les autres Clair comme le sang, ironie d’une vie à l’attendre. Il est accoudé à sa voiture, regardant sans en perdre une goutte les chiffres de la pompe à essence défiler. Comme si les nombres défileraient à l’infini et à une vitesse tel qu’infiniment on ne verrait rien.Mâchant

Très long très loin. Le plus souvent j'ai des envies d'iciMais le vrai c'est qu'c'est des frayeurs d'ailleursJ'quitte pas ma ville, ni l'paysEt vers l'inconnu j'lance mon majeur Ouais c'est con et pas fut'fut'Mais dans le futal j'ai ces photosDe moi partout, de moi qui mute.C'est ça partir ? Les pieds dans l'eau ? J'veux pas bouger, j'veux pas s

Sans s’arrêter, continuant sa route, la belle et langoureuse à la robe bleuté, me passe devant, des centaines de fois. Elle roule, défile, devant les yeux des simples, qui sans la comprendre, l’aime et la regarde. Elle grandit tant de fois, s’enfuit dans de si petites allée, que mes yeux la perdent, moi qui, assis sous un arbre tente san

Imaginons un être. Qu’importe sa beauté, ces mimiques où bien sa taille, je veux qu’il soit l’Homme. Il est posé, regard vide, face au public, tout est vide autour de lui, un simple éclairage jaune ou blanc, ou bien les deux comme dans ces vieilles lampes, l’éclaire et l’illumine, à chaque fois qu’elle s’éteint il se transform

Monde, Vivre et Courir les Couleurs. Vivre et grandir Jeune, Bleu, Blanc, Vermeille de ces centaines de vies, vu de mes yeux. Quelques dizaines de baies de sang, qui roulent … douceur sur la fleur de ma peau. Tout m’entoure feuillages, fruit, filles, ‘anfaronnade. Et ce soleil ! Ce soleil qui coule fragilement sur mon envie, sur mon cœur…