Comment ça? Bien sûr que si je l'ai adore les fâkheux ! Je les aime ces glandeurs à la cervelle atrophiée par l'alcool des jeudis soirs, aux emplois du temps vides et aérés sans lesquels nous n'aurions pas d'amusants défouloirs. Mais il faut avouer que le premier mois, qui est toujours difficile en prépa (Personne ne sait quoi faire, à qu

Destiné aux prépa Lettres ou non, aux futurs hypokhâgnes, Khâgnes, Cubes ou ancien khâgne ou tout simplement personnes moyennes aux capacités moyennes (Oui, c'est toi le Fakheux!), ce blog raconte la vie en prépa, du moins la mienne. Bienvenu dans mon univers ! Et bonne lecture. PS: N'ayez pas peur. Je vie encore. Enfin je survie. Pour l'ins

La prépa c'est... La mort. Il vont tous vouloir te faire tomber. Personne t'aidera, tu seras seul! Pour remettre les pendules à l'heure, la prépa n'est pas si horrible qu'on le croit. Du moins pas comme on vous l'aurait annoncé. Pour ma première année d'Hypokhâgne, tout se passe très bien. L'entraide y est plus forte que jamais, une vraie

Quand, innocent que j'étais, j'ai découvert ahuris et déprimé, que tout mes samedis matins ou presque seraient occupés par des devoirs surveillés en tout genre (Littérature, Philosophie, Histoire, Anglais, Allemand, Espagnol, Italien, Géographie etc. etc.), j'ai... mal réagis.

Lorsqu'on est accepté en classe préparatoire. Je n'y crois pas. Je suis complètement hystérique. Je réalise que je suis dans la fange (Pour ne pas dire autre chose ;-D)

Mouahahaa! Et quelle élite ! Personnellement, je déteste cette expression. Surtout qu'en hypokhâgne, on est loin d'être l'élite de la nation. Parce que l'élite de la nation en hypokhâgne, elle a 5 en version allemande, 4 en géographie à cause de fautes d'orthographe débiles, 8 en Anglais, 9 en littérature etc. etc. Nan, l'élite de la na

Le travail que l'on vous demande en Hypokhâgne est deux fois plus affreux que celui dont on s'est plaint l'an passé. Et pourtant, on s'accroche pour être deux fois plus efficace, pour travailler deux fois plus vite et deux fois mieux. Croyez-moi, on a tous eu à un moment donné la tête comme ça!