PIANE-PIANE Pianiste joue ta mélodie orchestrée. Donne-moi la chance de m’éblouir. Pianiste continue sans t’arrêter. Un bonheur suprême, la joie! Pianiste, tes doigts de fée, une merveille! Un monde noté dans ma mémoire éveillée. Pianiste, puissance de l’esprit. La grâce de cet instrument mélodique. Pianiste, emporte-moi dans mes
epervier
epervier
Poète rêveur (Québec),plume lyrique.
mon écriture au gré de ma sensibilité.
Je voltige avec passion à travers les
mots sublimes
Ses blogs
le blog epervier
Poète rêveur, ma plume lyrique glisse les mots au gré de mes fantaisies...
epervier
Articles :
16
Depuis :
27/08/2005
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
La chute Les feuilles me bousculent, j’ose à peine les piétiner. Un vent fougueux les détache sans aucune retenue. D’un rouge sanglant, elles voltigent misérablement. La disgrâce, l’indifférence, l’outrance. L’arbre déshabillé, cette froideur inexpliquée. Ce regard incompréhensible, désolation, agression. Je ressens cette nudit
Invitation à parcourir mon nouveau forum de poésie (Kébec): http://epervier50.forumactif.com
Douce prière.- Maman, Je voudrais dormir avec toi, Déposer ma tête entre tes seins, Humer ton parfum d’amour, Ressentir une paix intérieure. Je voudrais dormir avec toi, Me dépouiller sans honte, Chérir ton visage d’ange, Être bien tout simplement. Je voudrais dormir avec toi, Yeux clos, caresses assurées. Un cœur en apothéose. Tes pa
Adorable printannal.- Le blanc s’estompe sans s’interrompe. Les arbres se maquillent d’un verdâtre rassurant, odorant. Le soleil caresse l’air frileux, moelleux. Un vent ensorceleur chatouille mon corps, justaucorps. Les oiseaux insultent le froid, aucun passe-droit. De la quiétude envahit mon esprit, ce bel esprit. Des odeurs se volatili
PIANE-PIANE Pianiste joue ta mélodie orchestrée. Donne-moi la chance de m’éblouir. Pianiste continue sans t’arrêter. Un bonheur suprême, la joie! Pianiste, tes doigts de fée, une merveille! Un monde noté dans ma mémoire éveillée. Pianiste, puissance de l’esprit. La grâce de cet instrument mélodique. Pianiste, emporte-moi dans mes
Langer ce boulanger Je boulange ma vie, pétrir mes angoisses. Enfariner mes espoirs, me sustenter. Être né avant son pain, recherche inculte. Désinvolture, l’hostie, signe d’offrande. Espèce de potiron à l’esprit vif. Un regard de pureté, substance farineuse. L’insaisissable a façonné le compréhensible. Remuer sans cesse pour mieu
La chambrette.- Une berçante qui vacille un corps rompu. La terrible solitude d’un silence morbide. À peine quelques sons, des murmures pénibles. L’angoisse de survivre, le pourquoi de l’existence. Une cécité agonisante, une surdité affligeante. L’instinct de poursuivre malgré l’impossible. Et l’horloge continue son tic-tac inlas
Se laisser convaincre.- Donnez-moi un sourire pour que je puisse enjoliver mon visage. Offrez-moi des caresses, désir ultime d’apaiser mes peines. Le courage d’ouvrir mes yeux, contempler mes rêves insensés. Une besoin de croire, rire entre deux solitudes. Respirer totalement l’élégance d’un ciel bleuté, veloutée. Laissez-moi piétin
~~Plaisir profond (Lipogramme sans E) Charmant marmot, Rassurant Aux doigts fins. Cosmos, loupiot impulsif. Plaisir, doux frison. Plumard tout confort. Dodo, dormira. Soir scintillant, La nuit. Un matin polisson, Point ringard. Si gourmand! Adoration, Gamin, oh! Ravissant. André, épervier