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Gaël

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Tags associés : textes et poesies

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Au Coeur des Mots

Mon coeur est une éponge qui absorbe les vies et puis les retranscrit avant qu'elles ne s'oublient...
Gaël Gaël
Articles : 104
Depuis : 14/01/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Un petit goût de liberté

Y a comme un vent de liberté Qui s’engouffre dans mes pensées Un petit goût acidulé Qui se révèle à mon palais. Pas un bruit de larsen Mes courants m’appartiennent Pas une interférence Pour braver mes errances. Sans que nul ne proteste Mes émotions se grisent Ma raison lâche prise Mon coeur donne du leste. Un petit grain de sable Dans

Dû aux deux plumes

Entre rimes et métaphores Une amitié venait d'éclore Telle une Aurore Boréale Au dégradé original. Virtuel et réalité Peuvent parfois bien réunir Les cris de personnalités A la naissance d'un sourire. Tes délires entremêlés Ont à mon regard dévoilé L'aisance de ton univers Loin de mon horizon d'équerre. Sans compter tes alexandrins

L'art et la manière

De subtiles rubans placés ici et là, Quelques papiers d’argent pour accentuer l’éclat, Tout est question d'effets mêlés de sujétion, Pour manier brillamment l'art de l'élocution. Laver son linge sale avec adoucissant, Oubliés la javel et autres détachants, Il faut savoir doser avec subtilités, Pour maîtriser l'effet du « bien commun

Les petits papiers

Damnés, ne jamais s’éloigner, De vos précieux petits papiers, Sous peine d’aller au panier, Sans avoir pu s’y abonner. Un jour tu placardes la une, Et demain comptes pour des prunes, Il faut cartonner sur la pub, Pour ne pas choir dans le Danube. Anciennement bouffon du Roi, Tu finiras comme un paria, A te fourvoyer chaque jour, Pour gagne

Les mots

J'écrivais n'importe où au gré de mes élans, Les mots tourbillonnaient comme une feuille au vent, Mon encre était légère aux subtiles manières, Déversant de ses eaux un flux imaginaire. Je respirais les mots de mes poumons avides, Tout en me nourrissant de leurs pensées limpides, Rien ne me distrayait plus que compter les pieds, Comme un

Entière

Etre la moitié de soi même, En naviguant sur les deux thèmes, De sa propre complexité, Vivre en deux mondes fragmentés. La dualité est un fardeau, Que je porte comme un bandeau, Dans mon regard se réverbère, L’étendue de mon Univers. Etre deux êtres parallèles, A ce jeu, malgré moi, j’excelle, Quand mon « moi » dévoile sa gamme,

La petite histoire

Sur un petit coin de la table, Il me plaît à vous raconter, L'univers des conteurs de fables, Aux mille et une vérités. Il en existe tout un nid, Ceux qui croient en leurs facéties, Dont les mensonges n'ont d'égale, La largesse de leur morale. Car c'est sans le moindre complexe, Qu'ils simulent avec souplesse, Pirouettes et pieds de nez, Les

F I N

Finis les faux semblants, J’attise mes élans, Vers de nouveaux hospices, Sans attaches je glisse. Finie l’auto censure, Qui raillait mes blessures, Ma plume libérée, Rêve de s’aérée. Finies les habitudes, Je gagne en amplitude, Ouverte aux horizons, Désertés de cloisons. La fin de mes prémices, Le verbe un peu moins lisse, Le début

Mon capharnaüm

Dans mon crâne c’est le Bronx, Un vrai capharnaüm, Et même quand je pionce, J’en ressens les symptômes. Pas seulement linéaire, J’évacue, je libère… Bien que çà vous étonne, Je grille mes neurones. Bien rangée ou dérangée, Trop classe ou déclassée, C’est le fond du problème, Complexe théorème. Et si dans la question, Se

Quelqu'un

Qui enflammerait mes sens, Rien qu’en usant de sa présence, Et d’instinct troublerait mon cœur, Comme une rosée qu’on effleure. Qui saurait sublimer les mots, Au point de charmer mon cerveau, Et m’apporterait la saveur, D’un quotidien en profondeur. Qui saurait comment me toucher, Au propre comme au figuré, Et dont la douceur naturell