Prix : 22e. et 20e. Com : Gramenon est toujours aussi splendide, voici mon ancien commentaire : nez est très flatteur, sur la framboise, le bonbon anglais et les agrumes orangés. Du fruit en puissance. En bouche, c’est bon. Il se montre très présent, il accroche sur toute la longueur de langue. Est-ce la densité des lies ? Je lui concède la

Prix : 18e. et 18e. Com : Cos-Labory présente un nez sur l’évolution, animal, sous-bois et épices. Je lui aurais donné 20 ans de plus. La bouche est intense mais la texture fait défaut. Dommage. Léonie 2006 est toujours aussi belle, trame aromatique sur les fruits noirs, épices et mentholée. La bouche est suave, dense, et fluide. Tannins

2001 - "Passetougrain" de Fanny Sabre - Bourgogne est le premier passetougrain qui ne me déçoit pas bien qu'il n'ait pas les qualités d'un grand (normal me direz-vous), fruité plaisant mais sans complexité, sans surprise. - Bon 2009 - "Simone" Palette - Provence est énorme, belle fraicheur, légèreté, ample et droit à la fois, des arômes

Prix : ? Com : Nez assez puissant, laissant présager un vin gras. Arômes de litchee, coing, beurre, mirabelle et de fleurs blanches. La bouche confirme le nez, ce n’est pas un vin sec, c’est gras et sucré. La bouche est sympa mais bon, c’est sans plus. La tenue est correcte mais le plaisir est plutôt banal. Longueur respectable. Note : Bi

Atelier Châteauneuf et Truffes Accords préparés et expliqués par Guy Julien, Chef du restaurant La Beaugravière (Mondragon) • Velouté de potiron et truffes : accord aromatique sublime, léger et chaleureux, le potiron place réellement en avant les arômes de truffe, et son salé harmonise le tout, sans aucun doute l’accord qui m'a le plu

Cet après-midi, je me rends aux "Printemps de Châteauneuf du Pape 2013". Pour se plonger dans le bain, j'ouvre au petit matin un Chante-Perdrix 1989... L'ouverture de cette bouteille, par ma femme, est fracassante! Couleur orange et tuilé, type ancien carrelage. Le nez, bien que l'on sente un joli potentiel, s'ouvre sur un fruité évolué, et m

Prix : 26e. Com : Pouya, c’est splendide. De couleur moins tuilée que le 1990, il présente des caractéristiques olfactives similaire (cerise, épices, cèdre) sans le côté orange mais avec un peu poivron. La bouche est surprenante, la puissance cohabite avec la légèreté. Je confirme que ce vin présente des épaules masculines sur des cou

Prix : 15e. Com : Grosse surprise. Le nez est puissant, sur le gibier, les épices, le sous-bois et les champignons. Incroyable pour un pinot noir, à l’aveugle j’aurais parié sur un bordeaux ! La bouche est très présente, avec un équilibre tout à fait correct. La longueur et la tenue en bouche sont surprenantes. Bon, ok, cela manque un pe