Après une année à relire Maupassant, je m’attaque à un grand auteur classique plus contemporain dont j’ignore tout ou presque, Francis Scott Fitzgerald . J’ai entendu ou lu tellement de propos élogieux à son sujet, qu’il me fallait sans tarder réparer cet oubli. Gatsby est un jeune homme à la fortune douteuse qui vit dans une propri

À la manière de Simenon et son incontournable Maigret, l’auteur islandais propose au lecteur les enquêtes du célèbre mais modeste inspecteur Konrad. Ce roman est le troisième de la série des « Enquêtes de Konrad ». Konrad, bien que retraité, reprend du service, poussé par le remords. Il y a peu de temps, une vieille femme était venue

Russel Banks nous a quittés en ce début d’année, et par un étrange hasard, je viens seulement de découvrir sa plume au travers de cet ouvrage d’une grande qualité littéraire. Cela prouve une fois de plus, s’il en est besoin, combien d’auteurs majeurs peuvent échapper à notre vigilance de lecteur, au milieu de la multitude de romans

Souvent, à l’occasion de la disparition d’un être cher, il arrive que l’on sorte les albums de photos de la famille pour se remémorer certains souvenirs liés à notre histoire commune, comme pour se rapprocher et se serrer les coudes… C’est un peu ce qu’a réalisé la tante Rosamond quand elle s’est sentie mourir. Enregistrant sur

Ce roman m’est tombé entre les mains par hasard et, curieux de nature, j’ai décidé de le lire afin de faire connaissance avec cette auteure populaire. L’histoire est construite autour de thèmes de nature à créer une atmosphère propre à stimuler l’empathie du lecteur (un mourant du cancer, des histoires d’amour, la relation gémell

Roman très noir et féodal peuplé de mages, de monstres, et de châteaux, Gestalt nous conte la lutte du bien contre le mal, lutte orchestrée par des puissances principalement maléfiques. Les hommes et les peuples dirigés par un roi ou un prince vont subir la loi des plus forts et plus subtiles et quitter l’ornière rassurante de leur destin

Théo a treize ans quand il visite une exposition au Metropolitan Museum de New-York avec sa mère. Alors qu’ils admirent l’étrange petit tableau de Carel Fabritius, peint en 1634 intitulé le Chardonneret, une explosion va bouleverser définitivement la vie de Théo alors que sa mère comptera parmi les victimes de l’acte terroriste. Sorti

Tiens ! Un prix Goncourt ! Voilà qui laisse espérer une belle histoire et une belle écriture… Mon achat, en livre de poche, car je me méfie quand même un peu pour avoir aperçu certaines phrases assassines sur l’ouvrage, est comme une friandise dont tout le monde parle, qui vous met l’eau à la bouche avant même d’en connaitre le goû

Ah ! rédiger la chronique d’un monument de la littérature… Position inconfortable et risquée ! Je vais malgré tout m’y frotter, étant téméraire par nature. J’ai croisé cette œuvre au collège. Peu expert en belle écriture, le style de l’auteur m’a séduit. J’ai immédiatement senti une émotion à la lecture de cette prose m

Voilà pour moi la citation qui résume ce qui m’apparaît être l’essence de ce délicieux roman plein de charme désuet : Evelyn arrêta la voiture et, secouée de sanglots, le cœur déchiré, elle se demanda pourquoi il fallait que les gens vieillissent et meurent. Evelyn rend visite à sa belle-mère chaque dimanche dans la maison de retra