Pour le défi d'evy et de la communauté "l'univers magique". feuille d'ambre froissée soleil pâle et grise brise ; l'été, les beaux jours s'épuisent... coulent les larmes perlées de l'automne. eclat des feuillages cuivrés feuilles carmines et soleil d'or ; l'été se retire et s'endort... vienne avec tous ses attraits le bel automne
Eryndel Lùvalan
Eryndel Lùvalan
Bienvenue ! Vous trouverez ici les poèmes et nouvelles que j'écris depuis quelques années, précédés parfois d'une rapide explication, et parfois illustrés. Je vous souhaite une bonne lecture.
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Eryndel Lùvalan
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206
Depuis :
21/08/2009
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Pour le défi de la semaine de l'univers magique. sinueuse sirène susurre sous les eaux d'une expression de peine ses secrets et ses maux "maudite suis, dit-elle condamnée à errer seule et le coeur en peine dans ces eaux désertées par mon peuple éploré ; seule et brûlant de haine pour ceux qui ont souillé la mer autrefois belle." soucieuse
Bonsoir ! suite aux nombreux bugs rencontrés sur cet hébergeur, j'ai décidé de déménager mon blog ailleurs – sur blogspot, en fait, où se trouvent déjà mes nouvelles et romans. je n'ai pas tout à fait terminé, il faut que je remette les liens vers les blogamis sur la page d'accueil. néanmoins, je commence à y écrire. le poème de ce
Blancheur gelée de l'hiver éternel altier radeau des géants de glace nordique mer figée par l'angoisse qui craque, mugit dans l'air irréel un grand ours blanc foule ton sol polaire irrité par la faim, guettant une proie silencieux, majestueux comme un roi eternel errant de la banquise fière.
Quand je lève les yeux, allongée sous les draps, et que par la lucarne contemple les cieux, je me laisse glisser dans l'obscurité bleue où veille l'astre pâle à l'onirique éclat. devant moi se déploient les astres merveilleux lors même que somnole la terre là-bas. je me sens si légère... et je leur tends les bras, apaisée par la nuit e
Comme je n'ai pas le temps de créer un nouveau texte ce soir, je vous en soumets un plus ancien... le récit d'un cauchemar qui, rassurez-vous, ne vient plus me hanter depuis longtemps mais qui à une époque ne cessait de revenir sous différentes formes : noyade, enfermement dans un cercueil... tous évoquaient la sensation d'étouffer. ca y est
Un petit poème de circonstance... n'hésitez pas non plus à lire la suite de c'était écrit ici. le monde tangue et tourne le silence m'assourdit et le soleil m'éblouit la migraine s'acharne... la migraine s'acharne de son cruel carcan et sous ses feux ardents le monde tangue et tourne
Fatigue pesante chape de plomb asphyxie brûlante douleur sans nom la gorge se noue chaleur glacée la gorge s'enroue larmes figées migraine aveuglante froide solitude tâches trop pesantes lourde incertitude le souffle saccade sanglot réprimé le souffle cascade moral épuisé
Bonjour à tous ! jusque-là, poèmes et récits se côtoyaient sur ce blog. seulement, depuis que je me suis décidée à écrire des nouvelles plus longues, en plusieurs articles, un problème se pose : soit, par souci de lisibilité, il me faut me consacrer uniquement au texte long jusqu'à ce qu'il soit terminé, sans rien poster d'autre ; soit
Dans l'ombre sans espoir r ésonnent les sons noirs d'une harpe éolienne dont les notes païennes sanglotent au brouillard sous le vent nasillard. le spectre d'une reine morte de désespoir sur la harpe éolienne joue des accords hagards qui traduisent sa peine sous les exangues frênes. et sa voix éthérée aux accents éplorés se mêle en fris