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Ginnypop

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Ginny pops in London

Certains connaissent peut-être le livre "A year in the Merde" écrit par Stephen Clarke, l'histoire d'un anglais qui débarque dans notre capitale française ? Mais connaissez-vous l'histoire contraire ? Celle d'une française fraîchement débarquée à Londres.
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Articles : 18
Depuis : 17/01/2015
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

La subjectivité du temps

La subjectivité du temps

02-02-2015 - 07-02-2015 New Girl. La semaine est passée lentement. Les heures se sont transformées en jours. J'ai senti couler sur moi chaque centième de seconde. Comme si le temps avait, d'un coup, décidé de me narguer. Pourtant j ’ai enchaîné six journées de travail. La gérante n’est pas revenue à la boutique. Elle est toujours mala
It's a new dawn. It's a new day. It's a new life’s

It's a new dawn. It's a new day. It's a new life’s

08-02-2015 Bleach. Le soleil pointe son nez en ce dimanche matin. De mon côté, je sautille comme une puce. Ca faisait longtemps que je voulais me lancer. Mais quoi de mieux qu’une nouvelle vie pour une nouvelle tête ? Je prends un petit déjeuner copieux, une bonne douche et je file. Arrivée là-bas, je ne trouve pas le salon du premier coup.
Au plaisir de vous revoir

Au plaisir de vous revoir

« One day Alice came to a fork in the road and saw a Cheshire cat in a tree. Which road do I take? She asked. Where do you want to go? Was his response. I don’t know, Alice answered. Then, said the cat, it doesn’t matter. » Lewis Carroll, Alice’s adventures in Wonderland. Où aller ? Où ne pas aller ? Comme Alice, je me retrouve à un embr
Once upon a town

Once upon a town

DIMANCHE 25-01-2015 La colère du Tube. 11h40, je pars de chez moi. J’ai rendez-vous avec Cristina à midi, station de métro Tower Hill. Je n’ai que trois stations à parcourir malgré le changement de ligne. En dix minutes je devrais y être. J’aurais même un peu d’avance. Je suis contente. Un arrêt après le mien je descends pour chang
Bye bye baby, baby goodbye

Bye bye baby, baby goodbye

Les histoires se font rares ces derniers temps. On m’a toujours dit de ne pas parler pour ne rien dire. Or, à dire, je n’ai pas grand-chose. Enfin si, mon aventure ne durera plus très longtemps. Certains diront qu’ils sont contents, d’autres que j’abandonne trop vite. Raisons du départ. La principale est financière. On va dire que je
Mange, apprends, aime

Mange, apprends, aime

La semaine de la pitance gratuite. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé entre la semaine dernière et celle-ci, mais un petit quelque chose a dû changer en moi. Soit, j’ai atrocement maigrie. Soit, mon sourire est plus blanc que blanc. Donc en résumé : soit je fais pitié, soit j’ai développé un charme jusqu’alors insoupçonné. Tout
La philosophie du On

La philosophie du On

LUNDI 26-01-2015 & MARDI 27-01-2015 Les jours passent et se ressemblent. Lundi. Je me réveille trop tôt. Beaucoup trop tôt. Je prends ma douche, m’habille et pars. Je prendrai le petit déjeuner sur la route. Croissant et capuccino achetés. Je me dirige vers le travail. Je suis la première. Journée de travail banale. Le petit point noir : S
Save me from this squeeze

Save me from this squeeze

Long time no see. Deux semaines se sont pratiquement écoulées depuis ma transformation capillaire. La première, j’ai travaillé tous les jours sauf dimanche. Lundi. Je travaille. Je m’ennuie. J’écris à Cristina. On doit se voir le lendemain. Mardi. Travail et rien. Je m’ennuie encore. Je me rends compte que ma nouvelle collègue est lu
Il était une fin.

Il était une fin.

Londres 2015 m’aura appris quelque chose. Certains rêves sont faits pour être réalisés, afin de pouvoir passer au suivant. Je me serai battue dans ce premier quart de vie (oui je vivrai jusqu’à 100 ans, ça vous pose un problème ?). Garder des lourds secrets. Garder la tête hors de l’eau. Garder l’espoir. Affronter la vérité. Balay
Une routine peut en cacher une autre.

Une routine peut en cacher une autre.

29-01-2015 – 01-02-2015 On a beau changer de ville, de pays, la routine a une vilaine tendance à refaire surface rapidement. Elle devient alors "l'homme" à abattre ! Jeudi. Travail. Comme d’habitude j’arrive la première. Je ne comprends pas l’intérêt de dire aux vendeurs d’arriver à 9h45, si la personne, qui a les clés du magasin,