Le silence de la nuit au service du répit, Ton corps nu et ce lit, outre les interdits, Je te veux pour ce soir, pour demain, pour la vie, Je te veux pour toujours, et que durent les nuits... Côtes à côtes, mon amour, nul ne pourrait défaire, Une vie toute nouvelle, faite d'anges et d'enfer, Car biblique est l'osmose que nous donne cet enfant,

Comme vissés, pour ce soir, Au creux de nos vices. De la fête au boudoir, Du bonheur à l'esquisse... Partageons mon ami, Quelques brèves et marrades. Délectons cet exquis, Goût d'envie même maussade... Il en va de ces sons, Par le temps asservis, Des souv'nirs aux oublis, De nos cauch'mards féconds... Une instru, un artiste, Une chanson qu'

Ai-je trouvé, belle enfant, le vaccin de mes maux, Une raison, pour une fois, d'oublier le fardeau, Qu'est le poids de nos vies, de nos pleures et ces mots, N'ont de sens que dès l'or que tu vois tout en beau... Nous cherchions depuis peu, lorsque nous somme né, Une excuse, une passion, une raison d'exister, Tu es là, éveillée, pleine de vie

En dire long, se perdre soi-même, Et se dire qu'on est bon envers ceux que l'on aime. Raconter, encore, trop de fois, Nos histoires, nos vies, le tout narré en exploits... Vagues abondantes de suffisance, Narre si systématiquement, Les envies et l'enfer denses, Que sont ses maux, ses évidences... A trop vouloir se ressembler, Au loup il sera co

La fatigue entre mes rangs songe, A pousser outre, à laisser libre, Mes coups d'colère et mes rançons, Envers la vie qui nous rend sombre... Les uns prévus et les surprises, Les survenus, les gens mal faits, Tout ces déboires qui, sans éprises, Nous frisent chaque jour de leurs effets... Battons pour nous cet avenir, Qui tel de nos esprits s'

Ces discussions fusent et délient toutes les mâchoires, D'un vécu, comme trop loin, qui ne se remémore pas, Le passage d'un enfant à celui de l'être pas sage, Qui magique, fusse l'instant, à inventer le mot "espoir"... Un témoignage poignant, nos racines et leurs contrées, Une histoire parmis d'autres, celle de ceux qu'on affrontait, Les

Je me suis posé la question, Un nombre incalculable de fois, A quoi je sers et où va-t-on ? En qui devrais-je avoir la foi ? J'ai serpenté un p'tit moment, Dans mes ruelles d'introspection, Parfois même à contre-courant, Sans réponse à toutes ces questions... Il aura fallut une rencontre, Pour sur, la plus magique qui soit, Elle qui comme mo

L’embarras du soi… A chaque soir comme au levé, sur-motivé puis alerté, Par le surplus de ses idées, il se contente de trépigner… Il se voit grand et richissime, il se voit fort et bienveillant, Il n’est que du pauvre la rime, il n’est juste rien en attendant… Les autres sont de fait responsables, De ce qu’il ne peut ou veut fair

Sous le charme du texte, De ta peau qui est si... Je me donne sans reflex, Et t'aime de poésie... Te rencontre si souvent, Que parfois on oublie, La chance de chaque instant, Où nous restions épris... L'habitude qui n'est pas, La passion qui n'est plus, Reviendrons sous nos draps, Retrouver nos vertus... Nul gâchis mon amour, Ne saurait s'impos

Je n'arrête pas d'penser à toi, Comme une véritable idée fixe. Un simple regarde de toi sur moi, Ou plus encore nos corps qui glissent... Je m'en rend compte, de plus en plus, De jour en jour, de nuit en nuit. Tu es la seule qui me donne vie, Ton amour est une poupée Russe... Je te découvre à chaque mot, A chaque instant, à chaque baiser. A