Juste un regard, un simple sourire Les yeux, c'est la vie et ses couleurs Les yeux, c'est la lumière en toute sa splendeur Les yeux s'ouvrent quand le jour s' élève Les yeux sont comme les astres célestes Et les yeux sont le reflet des états de l'âme. Là arrêté, l'esprit figé, Le regard perdu dans le néant Tu contemples, le visage pâle,

Moi je suis née avec un accent, Si magnifique qu'il rend ma parole Agréable aux oreilles. A vos oreilles, un chant, Dont vous recherchez toujours l'origine. Que me dites-vous si souvent ? Tu es Sénégalaise. Non, tu es Burundaise. Tu es plutôt Sud-africaine. Autan de cogito qui vous donnel l'angine. Je vous répond lasse et épuisée, Je suis j

Chapitre 1: Le stage Elle sursauta. Le mini car s’immobilisa brusquement. L’apprenti hurlait à tue-tête. « Dernier arrêt, descendez ! » Elle s’était assoupie juste quelques minutes, vu la nuit agitée qu’elle avait eue. C’était son premier jour de stage. Son premier stage pour la validation de son diplôme du BTS. Un stage dans un

La libellule s’envole Et quand elle reviendra Elle aura la paix La libellule sort de sa bulle Elle s’enfuit vers d’autres horizons Elle s’en vole au cœur des dunes A la recherche de ce beau jardin Et rien ne l’empêchera D'atteindre la cité des Cieux Vers le soleil de minuit Elle ne se fie même plus à la brume Qui l’entoure dans la

Demain c'est la saint Valentin, il le sait bien mais n'y peut rien. De toutes les façons, il n'a pas de cavalière.Ça fait deux jours déjà qu'il n'a rien eu à se mettre sous la dent.C'est triste, c'est dur.Il essaie quand même de rester la tête haute.Son ventre ne cesse de bourdonner.Dans son esprit, il cherche mille et une astuces pour se r

Ma chère amie cela me fait tant plaisir de t’écrire à nouveau. Nous ne nous sommes pas revu depuis tant d’année que je cru que tu m’avais oublié. Tu ne peux pas imaginer la joie que je ressens encore aujourd’hui après avoir lui ta lettre. J’ai vraiment hâte de te voir en personne. Et toi comment te porte tu ? Quant à moi je ne peu

Vive L'Harmattan ! Vive L'Harmattan ! Ce temps tant attendu par tous les paysans Un vent sec qui vient d'horizons lointains Au dehors, quand la brume couvre tous vos membres, On sait alors qu'on est en Décembre. Vive L'Harmattan ! Vive L'Harmattan ! Ce temps qui déclare la guerre à tous bouts de champs Par la brume et la fraîcheur du matin, Par

Ma fille est triste Elle est toute En larme En pleure En cri Mon coeur Saigne De lui s'écoule Tout un bain De sang C'est peut-être Bien fait pour lui Car je l'avais bien Mis en garde Quant à l'amour Il ne fallut Point s'approcher Il n'a fait qu'à sa tête Et maintenant Il m'étouffe me chagrine En me brisant J'en veux à mon coeur De s'être la

Shut! Shut! Écoute et fais attention A toi, ô mon enfant! Car ce monde est plein de perfidie. Il est devenu ce qu'il est et on n'y peut rien. L'oreille qui t'écoute est celle qui te trahit L'oeil dans lequel tu te mires est le premier à te dévisager Le coeur auquel tu te fies est celui-là même qui dévoile tes secrets. Tel est fait le monde,

Le vent de L'Harmattan qui siffle dans le vent, Picote dans les narines des Africains. Sur la route des champs du grand nord, Les enfants sont tous couverts de blanc. Un pied par-ci et un autre par-là Ils courent et sautent de bonne joie Demain au petit matin, ils tueront encore cabri. Ce n'est pourtant pas une question de mort Mais juste une cond