Genny juillet 09

Non pas celle d’une maison, où d’un coffre fort oublié… ni la clef de sol ou de fa ; encore moins celle des songes. non ! il faut trouver ................................ ............................................................ ........................................................... la clef qui ouvre les cœurs ! la seule pouvant of

Tremblez dictateurs, un vent de liberté souffle sur la planète ; le peuple révolté se réveille, émerge de son état de veille ; fini la tyrannie, vous serez jugés punis ; cachez vos mains de sang tachées ; avec internet, les hommes sont unis ; vive la démocratie ! tremblez dictateurs ! vous êtes obsolètes ; au feu vos dictatures, vos exa

This woman ci dessous dessinee... n'a peur de rien, elle est rayonnante, solaire, ne craint ni les tremnlement de terre, ni le nucleaire.... elle va de l'avant , tient bien l' équilibre... et envoie des pensées positives au japon cette femme, ci dessous dessinée, voit le monde en bleu.! heu... oui bleu. genny d'ici et d'ailleurs

Partir en province... puisque tu m’évinces... fuir la capitale où ton cœur ne vibre que pour son capital ! partir en province... rretrouver mon prince... libre, grand et mince ! partir e. c capital l' idée m’enivre... comme une crise de délirium trémens ... genny

Les voyages les plus beaux... ................................................................... ne ne font ni en avion ni en bateau .................................................................... nous pouvons nous sentir transporté ...................................................................... nous envoler très loin, très haut ...

Comme un royaliste pleure sa fleur de lys ; lui s’enlise, et l’amnésie l’habille, parfois, tel un diamant, il renaît, il revit, un soleil, une rose, un amant. mais l’habit est volatile, éphémère, désaimé, solitaire, il retombe à terre ; ses démons le hantent, l’ensorcellent ; mais quelle est celle qui lui a coupé ses ailes ? gen

A force de croire en des chimères sans fin l’horizon se défile et le temps se perd ... les parfums tant aimés s’évaporent la fleur se fane, la solitude gagne du terrain… et vous gisez là, sans comprendre, incertain : privé de ces étincelles qui naguère éclairaient votre chemin amen ! a l'affirmation de voltaire "le paradis terrestre