Ses yeux s’embuèrent de larmes. Elle s’arrêta et les ferma. Aucun bruit ne sortait de la forêt. Le silence qui régnait ne la clamait pas. Elle leva le regard au ciel. Les arbres l’encerclaient comme d’immenses bras de verdure. Ils ne semblaient pas vouloir la lâcher. Les flocons tournoyaient doucement dans l’air. Aucun vent ne souffl

- Rooh mais où est ce que tu m’emmènes ? - Tu verras, arrêtes un peu de te plaindre. Et surtout n’enlèves pas ton bandeau. - C’est bon, j’ai comprit… quand tu m’as dit que tu voulais me voir pour noël, je croyais que tu pensais reste chez toi, collé l’un à l’autre. - Ne mange pas le dessert avant le plat de résistance. J’a

Oui je sais je sais, vous vous dîtes: "elle en met du temps l'imbécile pour écrire !" Et oui j'en mets beaucoup, vraiment désolée, mais je pense mettre le premier chapitre ce week end, alors veuillez patienté encore un tout petit peu. Et c'est là que ça ne vous plaît pas du tout et je pense que vous me détesteriez tous ><

Le garçon ce faufila sans peine un chemin à travers la foule, son kimono inspirant le respect. Il avança au plus prêt des danseuses et ferma les yeux. Les paroles résonnaient dans sa tête. Sans le vouloir, comme porté par la musique, Tegoshi pénétra dans le cercle. Son corps entier se mouvait au rythme des instruments. Il ressemblait à un

Yuya ne bougea pas. Il fixait les flammes dansantes. Le bruit de la calèche se faisait de moins en moins entendre, jusqu’à disparaitre entièrement. Le garçon ferma les yeux, une larme solitaire coula le long de sa joue. - Je n’en peux plus. Pardon mère, pardon père. Je n’y arrive plus. J’en ai marre de souffrir. Mon existence ne tien

Le lendemain, le jeune homme se leva avant le soleil, comme à son habitude. Son magicien d’ami dormait encore. Roulé en boule, flottant à un mètre du sol. Il ronflait comme un sonneur de cloche. Tegoshi se courba et passa en dessous de lui. Il atteignit sans bruit ses habits et se changea. Il troqua son dessous de kimono blanc en soie fine, c

Les gens sont là, flânant de boutiques en boutiques à la recherche de la bonne affaire qu’il n’aurait pas vue au premier, deuxième ou troisième passage. Les voilà donc, ces fourmis, attirées par l’appât de la mode et de l’argent qui vous files entre les doigts. Agglutinées comme des mouches sur une bouse de vache, prête à défier

Désolée pour la longue attente... Suite aux problèmes au lycée, les cours, les devoirs, le BAC et tout et tout, j'ai pas vraiment écrit. Je me remet donc taper mon histoire trè vite et essayrais de mettre le premier chaitre en ligne avant la fin des vacances. Merci d'attendre ^^

Il regagna la résidence. Le petit déjeuner était finit. Tegoshi nettoya la salle, la vaisselle et dressa la table pour le repas du midi. Il attendait tellement ce moment. Tous les jours, il priait pour qu’il arrive plus vite. Yuya devait voir Shigeaki, cela lui était presque, aujourd’hui plus que n’importe quel autre. Hélas le temps éta

Le soleil venait de se lever, mais déjà Tegoshi était au travail. Les cheveux mal attachés, les habits poussiéreux, il passait le balai dans l’entrée. Quand il passa à côté des cuisines, une douce odeur vint lui chatouiller les narines. Une senteur d’agrume émanait des fourneaux. Le ventre du jeune homme grondait. Son quignon de pain