Retour à Aix, où ma semaine de solitude et de chaleur étouffante tire vers sa fin... Je vous fais un rapide point sur la situation : c'est la merde. Concrètement restons-en aux faits, je n'ai plus aucun signe de vie de la part de Katia depuis mercredi 13h où elle m'avait envoyé un sms pour me rassurer sur le fait qu'elle avait bel et bien env

Cela va faire quelques mois déjà que ce terme de « lâcher prise » revient de plus en plus souvent à mes oreilles. On dirait que c'est le grand credo du moment, la nouvelle marotte à la mode. Lâcher prise. Lâchez prise les gars, c'est vital, c'est impératif, c'est la seule chose à faire si vous voulez vous en sortir ! Sinon vous allez cre

Après l'intermède précédent, certes agréable car récréatif sans pour autant se vautrer dans l'inutilité crasse non plus, retour un peu brutal à la réalité. Ici et maintenant. Je suis à Grasse, il fait une putain de chaleur et je hais la chaleur. Je suis à moitié à poil, ce qui ne m'évite pas une seconde de suer à grosses gouttes. M

Chers lecteurs-fantômes, après l'article précédent, qui est je le concède bien volontiers d'une teneur un tantinet sombre, je me suis dit que je devais un peu rétablir la balance, et ramener une once de légèreté (tiens c'est beau ça, une « once de légèreté », j'aime beaucoup) dans ces pages. Histoire de ne pas sombrer encore plus pro

J'ai donc répondu précédemment à la question de savoir pourquoi d'un coup d'un seul je réactivais ce blog mort-né de deux ans. Du moins j'y ai répondu partiellement. J'ai en fait parlé de l'élément déclencheur, la magnifique Katia d'Aix. Alors à cet instant il me semble important d'apporter un point de précision. Le prénom Katia n'est

Quand j'ai choisi mon pseudo de QN je ne l'ai absolument pas fait à la légère. C'était et cela reste parfaitement objectif et motivé par la réalité, et avant toute chose par mon expérience personnelle. Je n'ai pas toujours eu cette conception de ma personne, j'ai été comme à peu près tout le monde dirais-je : positif, plein d'envies et

Croyez-le ou non, je réfléchis. Beaucoup même. Ça cogite même pas mal du tout dans ce qui me sert de petite cervelle. Soit dit en passant « petite cervelle » n'est qu'une locution toute faite qui a pour but de faire sourire, elle n'est pas à prendre au pied de la lettre. Au contraire même, j'ai un tour de tête assez impressionnant je dois

J'ai beau me dire qu'il ne faut plus y penser, j'y pense. J'ai beau me convaincre que ce n'est pas grave, que ça passera, ça ne passe pas et ça s'aggrave. J'ai beau raisonner et me dire que c'est mieux ainsi et pour tout le monde, une petite voix en moi subsiste et me susurre à l'oreille que d'être raisonnable me tuera, et que c'est effectivem

Ô combien conscient de mon statut de QN, je n'en suis pas moins un doux rêveur. L'imaginaire est mon échappatoire, la pensée mon refuge. J'aime songer à toutes ces choses agréables que j'aimerais faire, à tout ce qui m'est inaccessible, à des vies parallèles dans lesquelles j'ai du talent, à des mondes parfaits où je suis heureux et où

Voilà, c'est déjà la fin. Bizarrement ça n'a pas commencé. Je repars dans quelques instants de Aix, et je profite encore une dernière fois d'un de mes rares moments de bonheur. Prendre le petit déjeuner sur le cours Mirabeau, alors que tout est encore calme en ce dimanche matin tôt. Je suis donc attablé comme chaque matin à la terrasse de