Quatre années ont passées. quatre années sans t'avoir ni vue, ni lue, ni enttendue. le désert d'une existance, perdue comme une poussière cosmique, voyageant a jamais au milieu de l'éternité, survivant au milieu de nulle part., perdue dans la nuit et le froid. qui se rappele les moments heureux d'une proximité et la douce chaleur de ta voix