C'est comme un regain de jeunesse, Qui réveille mon allégresse, Comme un lifting artificiel, Qui aurait redoré mes ailes. Suivi d’un relooking express, Par sûr que l’on me reconnaisse, Je n’ai pourtant jamais je crois, Eté aussi proche de moi. Mes intentions émancipées, Détendent mes zones fripées, L’effet formatant du gommage, M'o
Gaël Dewally ©
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15/08/2011
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Maison, Déco & Bricolage
Articles à découvrir
Enrubannée de certitudes, La vie tisse ses habitudes. Qui de nous pourrait se blâmer, De n’avoir jamais dit « jamais » ? Pourtant au détour de la vie, « Jamais » se voit parfois ravis, D’afficher un air supérieur, Devant ses anciens détracteurs. Lorsque nos convictions se brisent, Et que nos membres lâchent prise, Nous voilà soudain
Je n'ai plus rien de cette enfant, Qui perdait beaucoup trop de temps, A rêver de princes charmants, Et d'illusions en s'endormant. Je colle à ma réalité, Ma vie a ses aspérités, Ses longs couloirs dénivelés, A la destinée martelée. Je n'ai pourtant pas de rancoeur, Et demain ne me fait pas peur, Si le bonheur tourne le dos, J'irai jusqu'
Je les vois tirer leur cabas, Le regard rivé vers le bas, Le teint gris de leur triste mine, Sur leur visage prédomine. Une question me turlupine, Lorsque je croise leur bobine, Quel doit être le quotidien, De cette race de terrien ? Ils subissent sans se lasser, La vie sur eux semble glisser, Leurs conversations platoniques, Ne craignent pas la
Qu'importe la couleur de peau, Tous naît sous le même drapeau, Nos cris transpercent la lumière, Et demain redevient poussière. Droits de l’homme et égalité, Ne règnent pas en Société, Mais bien sous la pierre tombale, De nos vies à l’horizontale. Qu'importe la soie de nos draps, Les trottoirs où tombe le froid, Si demain il nous fau
Montée de larmes au goût infâme, Cliché mouillé d’un mélodrame, Mon cœur sevré n’a plus de came, Nulle étincelle et nulle flamme. Impunément mon corps réclame, Son appétit soudoie mon âme, Quand sur moi se ferme la lame, De fond et je lâche les rames. Passionnée j’ai joué la gamme, Mais n’en ressens plus les tamtams, Prés d
Ange ou démon nul ne le sait, Quand l’un à l’autre se soustrait, Une subtile opération, De passe-passe d’inversion. Quelle est l’emprise de chacun, Sur nos vies et choix cornéliens, Un vrai dilemme acrobatique, Pour les esprits machiavéliques. Dans l’entre deux un ange passe, J'emboite mes pas dans ses traces, Je perds haleine et me
Ce n'est aux rafales du vent, Ni aux houles de l'océan, Que tu dois d'échouer ici, Tes choix ont sabordé ta vie. Alors relève un peu la tête, Au lieu de jouer à la roulette, Les nœuds qu'il reste à parcourir, Sont promesse d’un avenir. Les regrets ne sont que des leurres, Qui entretiennent les rancœurs, Nul ne remplace ces saisons, Qui a
Oses le noir, le bleu, le rose Le changement profond des choses Lorsque ton reflet t’indispose Acceptes quelques ecchymoses Et force la métamorphose. En quête de l’apothéose Ose dépasser tes névroses Ouvre toi à ce qui s'impose Pour que demain en toi éclose La force cachée de la rose. Le dénouement parait grandiose Il va falloir mettre
Figée dans cet espace temps, Je me délecte du présent, Dont le goût de petit bonheur, Rassasie largement mon cœur. Le partage lui est immense, Distribué avec abondance, Autant qu’avec parcimonie, Comme on offre du pain béni. J’engrange cet effet second, Me prélasse dans ce cocon, Dont la douceur miraculeuse, M’affuble d’une moue rie