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Vous n’avez jamais su quels furent mes tourments ; J’ai brodé mes ennuis sur les franges lointaines Abreuvant la tristesse aux perles des fontaines Où scintillent mes pleurs en leurs doux chatoiements. Puis, j’entendis au loin, sous la voûte opaline, Résonner mon prénom à l’abord du chemin L’aède souriait, tel était mon destin : S