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17/06/2012
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
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Peut-être me trouveras-tu ridicule à la lecture de ces quelques mots, mais il est de ces histoires dans lesquelles on met une telle part de nous-mêmes que jamais, quel qu’en soit notre désir de ne plus souffrir ou notre volonté, on ne peut se détacher. Par 3 fois je t’ai perdu. Par 3 fois la douleur fut telle que j’ai souhaité mourir p
Les étoiles brillent… Entends, dans la nuit, cette voix qui faiblit… C’est le cri de mon âme qui n’avait pas compris, Que, loin du cœur, loin des yeux, le monde paraît sans vie. La nuit, par sa voute, s’étend à l’infini, Comme le senti ment qui, pour toi, jamais ne se tari. Il est, en ce sens, ma boussole bénie, Même éreinté,
Aurai-je pu imaginer qu’un jour, je t’aurai rencontré ? Les chemins de la vie sont, parfois, bien escarpés…. Et, bien souvent, ils mènent à des lieux que même les âmes ont ignoré… C’est en la parcourant, errant, un peu désœuvré, qu’au détour de cette route, sur tes pas, j’ai fini par marcher. De la douceur de ton regard, du
Peurs et inquiétudes, toujours empruntes d’incertitudes, Occultent… d’innombrables latitudes… A la croisée des chemins, j’ai rencontré la vie, Ce n’est pas moi qui suis parti, c’est elle qui m’a fuit Me retrouvant face au néant, désormais je comprend : Il faut savoir saisir l’instant, lorsqu’enfin il est présent Manquer de
Nuit blanche... et la conclusion de cette nuit... Pensant à toi, j'ai passé un long moment sur la terrasse à contempler le ciel étoilé... Pour moi, tu es un peu comme cette étoile qui brille plus fort que les autres dans la nuit et de laquelle je ne peux détacher mon regard. J'y aspire, elle m'attire, je la désire, j'aimerai pouvoir la touc
J’ai ce besoin invariable de t’aimer, de t’adorer… Pour m’y laisser aller, il me faut, en retour, ressentir ton amour… De tout ce temps passé ou nous avons été séparés… Je n’ai pu, ne serait-ce qu’un instant, parvenir à t’oublier. Si tu savais, à quel point, j’ai pu compter les jours !.. Faudra-t-il qu’à nouveau, ame
L’érotisme des mots, Plaisirs à ouïe clos… Ta peau qui frissonne, Les images foisonnent. Cherchant les prémices du plaisir non retenu, Ouf… Nul ne l’a perçu… Te voilà explorant, découvrant, De vastes territoires apparaissant enivrants. Tes sens s’emballent… As-tu peur de lever le voile? Puis… La retenue, Frayeur de te sentir
Daniel, « La rose des Mascareignes », ©2010
Il est un temps où, cassés par la vie, trompés par l'ennui, D'avoir à lutter pour notre dignité, Nous errons dans l'abîme du temps, au trefond de la nuit, Harcelés de papillons s'attachant à l'envie... En ces moments, le temps passe, la force trépasse, Et, tristesse... le sourire s'efface De l'Être tant aimé, nous sentons rejetés, Voyan