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Guy Aguenier

Guy Aguenier

auteur de poésie... "coin de jour"... "ignardises"... "testamenteur" aux éditions du Panthéon "le vrai tout" éditions Edilivre 2011
Tags associés : poesie, poesie, poesie, poesie

Ses blogs

Le blog de Felix Lery

essais poétiques sur le chemin du réel
Guy Aguenier Guy Aguenier
Articles : 12
Depuis : 08/02/2020
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Le blog de Guy Aguenier

textes poétiques courts et crus sur le chemin du réel
Guy Aguenier Guy Aguenier
Articles : 1818
Depuis : 12/11/2008
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

TÊTE DANS LE CŒUR

TÊTE DANS LE CŒUR

Tète dans le cœur Petits chemins escarpés Escapades poétiques du réel Laisser mijoter à feu doux longtemps Éternité sur un divan vers une patience incomplète Une rêverie sur un escabeau une tête se glisse sous la jupe Elle s'immobilise moment de jouissance aussi aveugle qu'exquis Froissement de chair sur fond de promesse d'une aube sans
RUINES EN SURSIS

RUINES EN SURSIS

Ruines en sursis. Ne sommes-nous que des amalgames de ruines. En sursis d'exécution sommaire. Nos cendres ne sont-elles que déchets minéraux. Promises à la stratification dans le cycle du carbone. Sommes-nous autre qu'une particule orpheline. Agitée au gré des souffles entre vents et tempêtes. Que restera-t-il des jours perdus. Dans l'abîme
SANS ASSISTANCE

SANS ASSISTANCE

sans assistance sourire aux pieds des fées pour la souffrance des ciels voilés sur le lac masqué par sa surface des pièces de silence frôlent le hasard cascade de chute en harmonie sur les marchepieds des clés brisées trompe l’œil en berceau de décadence colporté par les messages usés de bienvenue bonheur ouvert de l'ingénue soulevé
PASSAGE SANS TÉMOIN

PASSAGE SANS TÉMOIN

Passage sans témoin Quelque chose de l’homme allait naître C’est comme ça que j’ai rencontré ma mère Au cours de l’année qui a précédé ma naissance Le souvenir du big-bang que j’ai ressenti est flou Je porte encore l’onde de choc qui m’a conçu De fond en comble Jusqu’à en être confondu Vers le septième mois j’ai compr
CASCADES DE PRINTEMPS

CASCADES DE PRINTEMPS

Cascades de printemps Un sourire de l’aube le crépuscule du vieillissement les grincements de dents du temps les sentiments mal vécus de l’ordinaire sont autant de joies et peines que la vie offre certains à arracher les affreuses herbes du diable d’autre à offrir aux regards des bouquets de beautés l’heure est venue de quitter le hasa
BOIS SANS CHARME

BOIS SANS CHARME

Bois sans charme Tu fuis les doigts qui te cherchent Et file comme l’anguille enfilée sur elle même Qui fuit son ombre dans la haine d’un désir perdu On siffle dans le vide en attendant l’occasion du plaisir Digne princesse du bois sans charme beauté côté réel Des émois partiels partis sans donner de nouvelle Sexe où es-tu que fais-t
ORANGE AMÈRE

ORANGE AMÈRE

Orange amère. Derrière les barreaux les fruits sont amers. Même l'orange. Avec arrière-goût de passion. Voit rouge. Avant l'explosion des tensions extrêmes. Servi en feuilleté de confettis. Sur fond de confusion. Les coûts sont frappés. De monnaies pré-sonnantes. Embûches versées au menu des conversations. On entretient de savants rappo
DU DERNIER AU PREMIER

DU DERNIER AU PREMIER

Du dernier au premier. Il va de soi qu’il en existe toujours un qui a précédé l’autre. La chaîne est sans fin du dernier au suivant. Le premier succède au dernier sur la partition du vivant. Avec toujours l’interpellation du début des origines. Jusqu’à la perspective angoissée de l’apocalypse du dernier. Juste avant l’éternité
SANS SE METTRE LA TETE A L’ENVERS

SANS SE METTRE LA TETE A L’ENVERS

Sans se mettre la tête à l’envers La barre est instable la barque incontrôlable Le gîte invite à ne pas s’éloigner du centre de la terre Sans pour autant s’accrocher comme un forcené au bastingage Mais à quoi bon de questionner le risque n’appartient pas à la prévision qu’il est difficile de réaliser son peu de pouvoir sur les
DANS LE VIDE DU TEMPS

DANS LE VIDE DU TEMPS

Dans le vide du temps On a déjà parlé de tout de rien Juste pour cracher quelques mots L’âme au fil de l’ennui se plaît à écrire Dans la richesse du cœur assoupi d’espérance Courir après le temps et partout pourvu que ça bouge On oublie le lever du silence qui attend sa nuit son heure Contre le vacarme autour du tout neuf couronné