Métie Navajo
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Depuis :
02/09/2006
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Vu la République, la fraternité en ses fondements, l’hospitalité à l’horizon. Vu les bouleversements des temps présents, la perspective de mouvements migratoires extraordinaires à venir, la démultiplication annoncée de « jungles » dans les plis et replis de nos métropoles. Considérant que la « jungle » de Calais est habitée par 5
Il y a au collège d'Eskandar si vous restez seul, le soir si vous le faites une nuit si vous osez ou même la journée quand tous les stores sont baissés et que vous trainez au hasard des couloirs obscurs Des ombres qui se promènent Pas tout à fait des fantômes, pas tout à fait des esprits Des créatures difficiles à placer dans le visible Q
Quand vous n'êtes plus propriétaire de votre imagination, vous devenez une fiction, vous n'êtes pas le créateur de vous-même. Notre société est à présent fictive.Nous avons des esprits d'enfants sans même avoir le sens des responsabilités dont l'enfant fait preuve. Nous avons une puissance technologique de géants mais nous n'avons pas m
Recherche pour le fleuve Niger au couchant
recherche : Odjad, sur son arbre, surveillant le fleuve, attendant l'arrivée des Sorkos recherche : Portrait d'Odjad, scrutant l'horizon
recherches : le siège de Djenné.
Recherche : Odjad écrit à Houdoud sur le bateau pirate
ce n'est rien, c'est un autre coeur à l'intérieur d'un corps. qui clignote d'abord. qui bat. Il faut bien en dire deux mots (pourquoi ces deux mots sont-ils si difficiles à trouver quand on en a écrit des milliers d'autres?) ça commence tout petit, faible, inaudible, imaginaire... un pouls échappé au volcan endormi, sorti d'un néant miracul
A mademoiselle Kaa,rayon des Goudes Je me suis échappée. La mer scintille sous le coucher rose qui m'accueille (décidément, celle qui me reçoit en son absence doit être soeur des éléments : quand je la rencontrais la première fois, au sommet d'un été de libertés, c'était sous un ciel intensément embrassé, délirant de couleurs. Elle:
On vit. On était la veille pas loin de-, on a sa bande qui vit dans le quartier de-, on a pris le métro et pour la première fois on s'est rapproché avec ferveur des petits smartphones inconnus qui distillaient l'horreur à la seconde, on a envoyé et reçu des sms, on a plus ou moins recomposé sa bande en écoutant le nombre des morts croître
Tristesse incrustée, de jour de nuit. Angoisse existentielle de l'humain face au néant. Rage sourde qui ne sait comment se libérer. (Ce n'est peut-être pas la première fois. J'ai vacillé déjà, des morts au Mexique. Des amis disparus. J'ai senti le vide en moi. Mais ce n'est pas souvent. Je ne me mens pas, et ceux qui ricanent et comparent l
Une étrange parenthèse s'est ouverte pour ne pas se refermer de sitôt une parenthèse qui ouvre sur l'essentiel, où se glisse peu à peu ce qui existait avant. Depuis la vague qui m'a submergée à la naissance du petit être, la vie est venue me surprendre, chaque instant a changé. Etant si amoureuse de nature, je ne me doutais pas que s'ouvr
A Damas il faisait des décors pour les séries télé, il consacrait son loisir à la sculpture. Un jour il est opposant ou on dit qu'il est opposant ou ami d'opposant d'un certain dictateur qu'on n'est pas obligé de nommer parce que ça fait un peu sale sur la page et que tout le monde connaît son nom. On n'est pas bien sûr, en tout cas, il es