Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Zoé Klein

Zoé Klein

Ses blogs

Des images plein le corps.

Des choses et d'autres
Zoé Klein Zoé Klein
Articles : 28
Depuis : 25/11/2014
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

Calme.

C’est un joli réveille-matin que j’ai eu aujourd’hui. Un de tes cliquetis me parvient dans mes rêves, ce petit bruit significatif, au moment où tes lèvres grandissent et s’étendent pour habiller tes dents que je gouterai encore cent fois volontiers, à la seconde où des petites bulles microscopiques viennent mourir à la commissure de

Dyptique

J’ai l’impression que ça fait une éternité que t’es parti. Je me retourne dans les draps avec ce goût de rêve au bout des doigts, Avec ce mélange de chaud et de froid qui met mon corps en émois, Et je me rendors jusqu’à une heure et demie. Ton rire qui embaume l’atmosphère est toujours là, Je repense à nos étreintes à nos bai

Dépression moderne.

Des plumes blanches et douillettes de pigeon tombent devant ma fenêtre. Je remarque alors à quel point je m’oblige à finir demain. Par là je veux dire l’attitude maladive à laisser ouverts des champs de réflexion mais surtout d’action. Ne jamais en finir avec mes devoirs, avec mes contraintes mes obligations qui comme un tout sévère m
Le dimanche c’est..

Le dimanche c’est..

C’est vrai que le dimanche c’est un peu mon jour de chance. Le théâtre de merveilleux miracles. Mes meilleurs moments d’existence je dirais. Des réveils endormis, des soupirs embrumés. L’haleine chaude et les draps froissés. Le silence de nos yeux et l’éloquence de nos paumes. On s’est bien trouvé non ? Le destin fait parfois les

Monsieur

Le blues se balade avec ses lourds pas pareils aux cymbales sourdes et houleuses. Il passe par chez moi parfois. Quand mes amis sont loin, laissés à leurs vies hebdomadaires. Quand mon amour a passé la porte et que je vois une dernière fois sa main sur la poignée puis plus rien. Le blues se pavane, le plus beau de la cour des sentiments, le pl

Repos.

Tout a commencé dans notre tanière. A leur habitude, les animaux baillent, s’étirent l‘échine de bas en haut, s’enlacent et se rendorment. Une semaine à rêver avec et sans toi. Même si t’étais toujours là, quelque part, entre deux dessins ou entre les gouttes de pluie qui se lovent contre les vitres de la pièce. Neuf nuits, blotti

Cocon.

Tu vois c'est comme ça. Pourquoi je t'aime ? Parce que ton visage m'attire. Il me donne envie d'y être habituée, de pouvoir le peindre et en sentir les formes cachées dans le moindre souffle d'air chaud ou la moindre musique entrainante. Ton visage me donne envie d'exister pour ces si beau yeux qui me bercent quand l'insomnie me guette. Leur so

Rayons de soleil.

Tes paumes pleines de lumière et de réconfort ont encore une fois passé du temps contre mes frissons, caressant sans cesse de leurs rayons le moindre centimètre d’épaule ou de hanche, sublimant ainsi de leur chaleur nos sourires aveugles et fous. Car les yeux fermés, sans hésiter, je te suivrai. Et encore une fois nos doigts entrelacés é

La foire aux soupirs.

C’est en m’accrochant au bar avec euphorie et déséquilibre que Marc me parle de toi. On dit des choses et d’autres et il me laisse deviner de façon assez évidente que tu as quelqu’un. Non, pas quelqu’un : que tu as déjà une fille près de toi. Pas n’importe laquelle je suppose, sinon pourquoi elle ? « Tu n’aurais pas du me dire
A jeudi.

A jeudi.

Hier soir j'essayais de m'endormir, mais tu connais mes difficultés sur ce sujet. Les pensées ne pouvaient absolument pas s'arrêter de filer, les question de se poser et les images d'apparaître. Et c'est toi que j'ai vu. Je songeais d'abord à la chaleur de ton visage, de tes épaules, de ta main. Cette même température que l'air ambiant d'un