Les lignes obscures dans le contour de l'image ensevelissent la perte réelle, qualité de richesses cachées; les ombres de nuit se mêlent au chatoiement de la flamme, espace mille fois re-visionné: tu fais parti de mon monde...

Un jour de pleine lune je t'ai revue nue, lignes pures d'un corps pur je me souviens à tes caresses je me rappelle à tes tendresses, chanterelle des bois je reste aux abois, je me sens triste dans ce corps fébrile, je suis ailleurs je suis nulle part, esprit libre dans la pensée le rêve réalise la vie...

Lorsqu'il découvrit son visage, il ne connaissait pas son âge, de cette vision, il crut au présage, ne voulant plus être sage. il était admiratif devant ce corps nu, aucunes rides de méchanceté, il lut dans ses yeux des messages qui remuent, le dessin de son corps lui plut. les cheveux arc-en-ciel se mêlaient aux déplacements ajustés de s

J'aimerais enlever ton masque, délivrer ta vérité, que tu te regardes tel que je suis, te chasser de ta tanière pour retrouver ma liberté embrasser ton aurore, mon crépuscule chasser l'ombre qui me cache rendre l'essentiel dans l'abîme retrouver le contraire de ta vérité marier le soleil et la lune mûrir mille jeunesses déglacer le vent

Un air malin me prend la main douce, douce musique au vent; une romance aussi démente que celle de mai, un air qui toujours recommence, qui n'en finit jamais, note après note il m'entraîne, loin, loin, très loin... le silence de la chambre m'appelle un mystère de vérité un effroi d'étreintes un chant de cœur mélodie d'esprits, large autom

Charlie Charlie quel charivari! quelle barbarie!! quelle ignominie!!! quelle boucherie!!!! quelle connerie!!!!! ---------------- Liberté retient ton sang Liberté retient la colère Liberté reprend la parole Liberté reprend la plume

La portière claque, la barrière se lève, le temps s'évade, le passé rêve. espace d'un émoi, espace d'un frémissement, moment pour toi, moment dément. pensées dans le sang, pensées à fleur de mains, effleurement latéral, effleurement d'un sein. vide d'un espoir, vide d'un croire!

Le tourbillon de ton regard résonne en moi quels mots, quels émois! que dire ou ne rien dire, plus dire ou se taire, instants troublants, instants remuants, que dire que taire parler ou discuter mot ou sans mot, instant ou moment photographie figée de ces temps photographie à développer photo et graphie à envelopper! Reste demain reste deux m

Entre l'échappée et l'espoir qui croire? Entre le tout et le reste qui entendre? Entre nous et moi qui voir? Entre le passé et le futur qui murmure?

De la rue du Sentier hier je m'y sentais hier tu y étais. De la rue du Sentoir sur tous les trottoirs tu t'y promenais tard. De la rue du Sentour à tous les alentours il tourne. De la rue du Sentoin de loin en loin il la rejoint. De la rue du Sentaime li l'aime quand même.