Dans la famille trouble-couple je ne veux pas la mère mais tu pioches jusqu'à me la donner dans la famille trouble couple je ne veux pas le père mais tu pioches jusqu'à m'en lasser dans la famille trouble couple je ne veux pas le fils mais tu pioches jusqu'à ma nausée dans la famille trouble couple je ne veux pas la fille mais tu pioches jusq
fabulae
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Poètesse
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17/03/2010
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Lifestyle
Articles à découvrir
Je suis comme une hirondelle qui ne veut pas faire le printemps je ne sais ou poser mes ailes toi entete toi entetant toi tentant.
Les plumes ne s'écrasent pas elles s'élèvent dans les airs et retombent avec grâce les plumes ne se balaient pas elles s'envolent elles effleurent des visages chatouillent des nez provoquent des éternuements les plumes sont faites de telle façon qu'aucun fou, qu'aucune arme, jamais ne pourra les assassiner. #je suis charlie
Ma pensée exorbitée sort de mes yeux comme un aveu comme assignée témoin comparaissant sous ton regard d'expert témoignage naissant et je signe d'un battement de paupière
Le père noël est diabétique et peut-être un peu dépressif quand il plonge son regard doux dans les yeux voilés de cataracte de son vieux renne arthritique lui trop lourd, trop gras, trop vieux penche sur sa canne il existe bel et bien mais affaibli par la vieillesse et la maladie il ne vient plus
Toi qui jetas l'ancre en mon intérieur commandant en mon bord tu tanguas, et versas; comme une larme remplir la mère ...
Si demain est cette ligne que dessine l'horizon et aujourd'hui la mer devant si là bas le but ultime et ici nous maintenant alors demain je te regarde et je t'admire et toi devant, l' immense tu portes un nom la mer patience
Le petit bonhomme a surmonté bien des rochers il a gravi bien des défis le petit homme bon n'aime pas les conseils ni les sermons il ne fait confiance qu'à son intuition et face aux mauvaises fées il ne se laisse berner par leurs sourires hypocrites ni ne se laisse bercer par leurs griffes vilaines, vilaines, mauvaises, mauvaises, ces âmes ent
J'ai le coeur gros anévrysmal de t'aimer trop je voudrais t'arraisonner a défaut de te raisonner mon sang bouillonne mais tu te cloisonnes viens je vais les peindre tes brûlures viens je vais les soulever tes ligatures je suis peintre je suis herculéenne je suis achille tu es l'aiguille je suis la couture tu es la coupure et de l'anévrysme tu
Tombe la neige sur ton coeur enseveli voici le calme revenu plus de lumière le noir sourd les matins balbutiants les trop courtes soirées ton coeur foule les feuilles de l'automne glisse sur les trottoirs verglacés plus rien n'est sûr, ni ne t'étonne tu ne sais plus quelle saison il fait tu piétines, tu tâtonnes seul et aveugle sourd et muet